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sur demande à : jeanluc@cineclubdecaen.com

1 -Les ciné-clubs des 2 août et 6 septembre.

2- Les sorties en salle

3 - A la télévision cette semaine

4 - Abbas Kiarostami; si loin, si proche, n°62 d'Eclipses revue de cinéma

 

 

1 - Les ciné-clubs d'août et septembre : Vive Yasujiro Ozu !

Durant tout l’été, le ciné-club de Caen vous accompagne pour suivre la rétrospective en 10 films du plus zen des cinéastes japonais. Dès le 2 août, un premier ciné-club est consacré à Printemps tardif (1949), le plus grand succès d'Ozu au Japon avec deux de ses acteurs emblématiques, Chishu Ryu et Setsuko Hara. Le 6 septembre, un second ciné-club programmera Fin d’automne (1960). Les deux films forment en effet un diptyque, l'un étant le miroir au féminin du premier. L'actrice Setsuko Hara jouant la fille dans le film de 1949 puis la mère dans celui de 1960.

Printemps tardif (1949)
Noriko, jeune fille ayant pratiquement passé l'âge "normal" de se marier, vit seule avec son père à Kamakura. Parfaitement heureuse avec lui, elle refuse tous les prétendants. Son père, aidée par la tante de Noriko, recourt alors à un stratagème afin de la forcer à accepter : lui faire croire qu'il a l'intention de se remarier...

Printemps tardif est le premier des films d'Ozu qui exalte le sentiment zen de l'impermanence (Mu jô) au travers du traitement exclusif du thème la désagrégation de la famille. Cette plénitude menacée par le changement, Ozu la magnifie en figurant le temps, tel un peintre asiatique, avec des pleins et des vides. C'est sa manière d'accueillir le temps qui passe en sage zen (l'analyse sera développée en salle).

 

2 - les sorties en salle

 

3- A la télévision cette semaine :

de Jacques Tati, lundi 23 juillet, 20h50, Arte
de Gus van Sant, lundi 23 juillet, 20h55, FÔ
de Clint Eastwood, jeudi 26 juillet, 13h25, Arte
de Clint Eatswood, jeudi 26 juillet, 21h00, TF1
de Alberto Rodriguez, vendredi 27 juillet, 0h45, Arte

 

4 - Abbas Kiarostami ; si loin, si proche - n°62 d'Eclipses revue de cinéma

Cinéaste universel, Abbas Kiarostami est aussi fondamentalement iranien par son approche de l’art dans laquelle la connaissance consiste en un dévoilement du sens symbolique, au-delà des formes matérielles.

Ce numéro le montre au travers de l'analyse des premiers moyens métrages, de six films importants et d'analyses transversales (Voir : notre présentation de cette monographie)

Jean-Luc Lacuve, le dimanche 22 juillet 2018

Précédentes newsletters : 7 janvier, 21 janvier , 4 février , 11 février , 25 février , 12 mars , 25 mars, 22 avril , 13 mai , 21 mai , 3 juin , 17 juin, 8 juillet

 

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