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Abonnez-vous à La newsletter du Ciné-club de Caen
sur demande à : jeanluc@cineclubdecaen.com
2 - Les sorties en salle
3 - A la télévision cette semaine
4 - Compte rendu de la 2e conférence de l'Esam sur les pratiques performatives des années 50 à 80.
1- Manon d'Henri-Georges Clouzot au ciné-club du jeudi 15 février au Café des Images : 20h15 , mais aussi, repas possible avant, dès 19h30.
La bataille de Normandie fait rage... Robert Desgrieux, jeune maquisard, fait partie d'un groupe de FFI qui sauve la jeune Manon Lescaut de la fureur populaire : serveuse dans un café, Manon avait sympathisé avec l'occupant. Séduit par la jeune fille, Desgrieux déserte et fuit avec elle vers la capitale...
Alors que l'exposition Le mystère Clouzot se prolonge à la cinémathèque jusqu'au 29 juillet et que nos amis d'Eclipses-Revue de cinéma ont rédigé un numéro spécial sur le cinéaste, je vous propose de rassembler ces contributions à l'occasion de la projection de Manon, sans doute l'un des films les plus rarement projetés du cinéaste... qui tourne l'une de ses scènes emblématique dans l'église de Vire-Normandie bombardée....
19h30 : Possibilité de se retrouver autour d'une tarte salée au restaurant du Café des Images (7 euros le plat et bière à partir de 3 euros). Merci de m'indiquer si vous voulez que je réserve pour vous.
20h15-20h25 : Le film replacé dans la filmographie d'Henri-Georges Clouzot et quelques éléments à repérer dans le film.
20h25-22h15 : Projection de Manon (1949, 1h50)
22h15- 22h45 : Débat en salle
22h45 : Pot offert par le Café des Images.
(cliquez pour agrandir)
2- Sorties en salle
- Pentagon papers : Steven Spielberg a accepté avec enthousiasme de tourner un film dans l'urgence d'une situation politique où, à la veille de l'élection de Donald Trump, la liberté de la presse lui semble menacée. Hélas, l'élection de celui-ci rend le film désuet par rapport aux coups bas perfides et grotesques répétés du nouveau locataire de la maison blanche. Reste un film pliasant et féministe.
- Jean Douchet, l'enfant agité : Les trois jeunes cinéastes rappellent son importance dans l'histoire du cinéma (rédacteur en chef adjoint des Cahiers du cinéma) et de la cinéphilie (l'art d'aimer est un texte fondateur). Ils exaltent son talent de passeur : parce qu'il n'a jamais de notes, chacune de ses interventions donne l'impression de voir se développer une pensée toujours en mouvement, toujours à l'écoute des réactions de la salle pour l'accélérer, la préciser. Mais le film rend surtout attachant ce philosophe moderne qui applique avec joie ses principes à sa vie.
- Que le diable nous emporte :"Nous ne savons pas où nous allons, alors laissons le diable nous emporter". Cette phrase de Pouchkine, inscrite au début du film, ne résonne guère tout au long de son déroulement tant c'est bien la sublimation par l'art et les bonnes intentions que célèbre Jean-Claude Brisseau.
3- A la télévision cette semaine
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de Robert Aldrich, dimanche 11 février, 20h55, Arte | |
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de Bertrand Tavernier lundi 12 février, 20h50, Arte | |
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de Bertrand Tavernier lundi 12 février, 22h55, Arte | |
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de Terence Young, lundi 12 février, 20h55, FÔ | |
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de Jon Favreau, lundi 12 février, 21h00,W9 | |
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de Jacques Deray, mardi 13 février,20h55, Chérie25 | |
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de Bertrand Tavernier mercredi 14 février, 13h35, Arte | |
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de Jafar Panahi, mercredi 14 février, 20h55, Arte | |
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de Jon Amiel, jeudi 15 février, 20h55, Chérie25 |
4- Compte rendu de la 2e Conférence de l'Esam sur les pratiques performatives des années 50 à 80.
Après une courte mise en place. Texte de 1947, vécu, la langue trébuche sur elle-même (Le mot a failli durant la guerre, il convient alors de se dégager des mots, le corps doit être plus puissant).
Jean-Luc Lacuve, le 11 février 2018
Précédentes newsletters : 7 janvier, 21 janvier , 4 février
