Morse (Tomas Alfredson, 2008)

Le film de vampires est un sous-genre du film fantastique comme les films de fantômes, les créations d'un monstre par l'homme avec Frankenstein, Dr Jekyll et Mister Hyde, l'homme invisible, ou de créatures aux pouvoirs fantastiques, non créées par l'homme : les super héros.

Dracula est un personnage de fiction inventé par l'écrivain irlandais Bram Stoker en 1897, dans un roman écrit sous forme épistolaire.

Stoker s'est inspiré du personnage historique Vlad Tepes (Vlad l'Empaleur) surnommé "Dracula" et réputé être particulièrement cruel. De ce voïvode de Valachie au XVe siècle, l'auteur en a fait un vampire, c'est-à-dire un être immortel qui se repaît du sang des vivants.

Dracula muet

Nosferatu
Nosferatu de Friedrich Wilhelm Murnau (1922)

La première adaptation du livre de Bram Stoker (et le premier film traitant du thème du vampire) est le chef-d'œuvre Nosferatu (Nosferatu, eine Symphonie des Grauens) réalisé par Friedrich Murnau en 1922.

Murnau chercha à éviter de payer les droits d'auteur et à cette fin changea le nom de tous les personnages ainsi que la localisation de l'intrigue. Ceci n'empêcha pas l'héritière, Florence Stoker, de l'attaquer en justice et d'obtenir la destruction des négatifs originaux ainsi que la plupart des copies. L'acteur qui interpréta le rôle du comte Dracula - également appelé "comte Orlok" dans cette version, Max Schreck, fut tellement persuasif que le bruit couru qu'il s'agissait d'un véritable vampire ! Cette idée fut reprise en 2000 dans le film L'ombre du vampire (Shadow of the vampire), réalisé par Elias Merhige. Ce premier Nosferatu a fait l'objet d'un remake spécifique : Nosferatu, fantôme de la nuit de Werner Herzog en 1979 avec Klaus Kinski, Isabelle Adjani et Bruno Ganz

Le hongrois Karoly Lajthay réalise aussi un Drakula (1923 avec Margit Lux et Paul Askonas) sans, non plus, l'autorisation de la veuve de Bram Stoker.

Les Dracula des studios Universal : 1931-1948

Nosferatu
Tod Browning : Dracula (1931)
La marque du vampire
Tod Browning : La marque du vampire (1935)

Si le cinéma muet n'a pas rendu hommage au Dracula de Bram Stoker, il en va tout à fait différemment du cinéma parlant. Dracula (1931) sera en effet le premier film fantastique de l’ère du parlant.

En 1930, la Universal prend la décision d’adapter le roman de Bram Stoker, ou plus précisément la pièce de théâtre qui en est tirée et qui triomphe encore à Broadway, avec Bela Lugosi dans le rôle titre. En 1931, Bela Lugosi joue pour la première fois Dracula dans un film de Tod Browning, Dracula avec Helen Chandler. La Universal produit parallèlement une version espagnole du film, tournée la nuit dans les mêmes décors mais avec une équipe différente (réalisation de George Melford avec Carlos Villarias et Lupita Tovar).

Le duo Browning-Lugosi tournera aussi La marque du vampire en 1935. C'est à Lugosi que revient le mérite de rendre à Dracula sa dimension érotique au cinéma (la dimension sexuelle de Nosferatu est plus psychanalytique), perdant en contrepartie le fascinant pouvoir de terreur de Max Schreck. Pour l'anecdote, Bela Lugosi fut enterré avec la cape de Dracula à la demande de sa femme. C'était en 1956.

En 1945 c'est à John Carradine que La Univeral confie le rôle titre dans La maison de Dracula qui n'est que le second personnage de cette série B parodique derrière l'homme loup interprété par Lon Chaney Jr. Bela Lugusi ne tournera le comte Dracula que dans la parodie de Charles Barton, Deux nigauds contre Frankenstein (1948) avec Abbott et Costello. C'est le premier d'une longue série de films populaires exploitant le personnage de Dracula.

Le Vampyr (1932) de Dreyer s'inspire surtout du livre du compatriote irlandais de Stoker, Sheridan Le Fanu, qui 26 avant lui, en 1861 avait publié Carmilla. Le roman de Le Fanu servira aussi d'inspiration à Roger Vadim dans Et mourir de plaisir (1960) et à Roy Ward Baker pour The vampire lovers (1970).

Carmilla, une concurrente pour Dracula :
Vampyr (Carl Theodor Dreyer, 1932) et Et mourir de plaisir (Roger Vadim, 1960)

Le retour de Dracula réalisé en 1958 par Paul Landres est la première des versions américaines de Dracula non produite par la Universal mais par Gramercy Pictures.


Les neuf adaptations de Hammer films entre 1958 et 1974

Le cauchemar de Dracula (Terence Fisher , 1958)
Les maîtresses de Dracula (Terence Fisher , 1960)

Après Bela Lugosi, le deuxième acteur le plus représentatif du rôle de Dracula fut Christopher Lee qui apparut en 1958 dans le film de Terence Fisher : Le cauchemar de Dracula . Il s'agit d'une version plus gothique de l'œuvre, hissée au trentième rang des plus grands films britanniques de tous les temps par le magazine Total film en 2004.

La Hammer produisit ensuite huit autres films autour du personnage de Dracula, tous, sauf le premier et le dernier, interprétés par Christopher Lee Les maîtresses de Dracula (Terence Fisher, 1960), Dracula, prince des ténèbres (Terence Fisher, 1966) puis Dracula et les femmes (Freddie Francis, 1968), Une messe pour Dracula (Peter Sasdy, 1970), Les cicatrices de Dracula (Roy Ward Baker, 1970), Dracula 73 (Alan Gibson, 1972), Dracula vit toujours à Londres (Alan Gibson, 1973) et La légende des 7 vampires d’or (Roy Ward Baker, 1974).

 

Le vampire de toutes les causes

Le personnage de Dracula, devenu l'un des monstres les plus connus dans le monde occidental s'est prêté à toutes les causes et toutes le parodies.

Dracula, le vampire noir, film de blackexploitation réalisé en 1972 par William Crain avec William Marshall et Vonette McGee ne met pas en scène le célèbre vampire mais l'évoque implicitement à travers le titre. Il sera suivi, un an plus tard, de Scream, Blacula réalisé en 1973 par Bob Kelljan avec William Marshall et Pam Grier.

Dans les parodies, se succéderont Billy the Kid contre Dracula (William Beaudine, 1966) avec John Carradine et Richard Reeves, Dracula au Pakistan (Khwaja Sarfraz, 1967), Santo contre le trésor de Dracula (René Cardona, 1968), Dracula père et fils (Edouard Molinaro, 1976), Les Charlots contre Dracula (Jean-Pierre Vergne, 1980), Mama Dracula (Boris Szulzinger, 1980), Dracula, mort et heureux de l'être (Mel Brooks, 1995) avec Steven Weber et Leslie Nielsen

En 1970 Jésus Franco réalise une adaptation fidèle avec Christopher Lee dans le rôle titre. Les nuits de Dracula seront suivies en 1972 de deux films moins conventionnels du réalisateur espagnol, Dracula, prisonnier de Frankenstein et La fille de Dracula. En 1975, Calvin Floyd réalise le documentaire Vem var Dracula ? avec Christopher Lee qui explore les légendes sur les vampires à partir d'extraits de films et de tableaux.

Parallèlement, le personnage de Dracula romantique se développe au sein du téléfilm Dracula et ses femmes vampires (Dan Curtis,1974) avec Jack Palance et Simon Ward. C'est cette adaptation qui mettra pour la première fois en avant l'idée du vampire confronté à la réincarnation de son amour perdu, qui sera exploitée plus tard dans l'adaptation de Francis Ford Coppola. Du sang pour Dracula (Paul Morrissey, 1974) version érotique où Dracula est maladif, famélique, nullement terrifiant. Sa fragilité et sa noblesse s'opposent à la virile rudesse du paysan qui déjoue, sans le vouloir, ses plans. Les valeurs véhiculées sont celles d'une époque secouée par la révolution sexuelle : l'exigence de virginité est ici présentée de manière négative puisque c'est grâce à leurs libertinages que les personnages parviennent à déjouer les plans du comte. Nettement plus mineurs, Tendre Dracula réalisé en 1975 par Pierre Grunstein avec Peter Cushing et Nathalie Courval et Dracula (John Badham, 1979).

Dracula de Francis Ford Coppola
Dracula (Francis Ford Coppola, 1992), chef d'oeuvre du genre

En 1992, le prince des ténèbres, qui avait presque déserté les écrans durant les années 80, réapparaît avec le chef d'oeuvre de Francis Ford Coppola, Dracula, avec dans le rôle titre Gary Oldman. Oeuvre flamboyante et à ce jour la plus fidèle au roman, elle en restitue la puissance démoniaque et érotique.

Etre vampire aujourd'hui

Entretien avec un vampire (Neil Jordan, 1994), innove en faisant de la malheureuse Claudia (interprétée par Kirsten Dunst, alors âgée de douze ans et totalement inconnue), l'être le plus monstrueux de son film. Elle ne meure pas mais ne vieillit pas, ne grandit pas ce qui en fait une chose maudite. Elle garde ainsi le corps putride d'une belle mulâtre dont elle souhaitait acquérir la beauté sous ses poupées qui s'amoncellent. Tomas Alfredson s'en souviendra dans Morse (2008) où il fait du jeune Oskar, douze ans, le compagnon maudit, d'Eli un jeune vampire du même âge.

Entretien avec un vampire (Neil Jordan, 1994)
Morse (Tomas Alfredson, 2008)

En 2002, Guy Maddin réalise Dracula, pages tirées du journal d'une vierge l'adaptation cinématographique de la version du Royal Winnipeg Ballet avec Zhang Wei-Qiang et Tara Birtwhistle. La saga Twilight, initiée par Catherine Hardwicke en 2008 fera aussi du désir sexuel adolescent refoulé, le moteur de son récit.

Thirst, ceci est mon sang (Park Chan-wook, 2009), réalise une brillante et réjouissante synthèse de Dracula et de Thérèse Raquin alors que Jarmush fait d'Adam et Eve les derniers bricoleurs d'une humanité guettée par l'empoisonnement généralisé dans Only lovers left alive (2013).

Les 50 principaux films de vampires :
       
Grave Julia Ducournau France 2016
Only lovers left alive Jim Jarmush U.S.A. 2013
Twilight, Révélation Bill Condon U.S.A. 2011
Twilight, Hésitation David Slade U.S.A. 2010
Thirst, ceci est mon sang Park Chan-wook Corée 2009
Daybreakers Michael et Peter Spierig U.S.A. 2009
Twilight, Tentation Chris Weitz U.S.A. 2009
L'Assistant du vampire Paul Weitz U.S.A. 2009
Morse Tomas Alfredson Suède 2008
Twilight, Fascination Catherine Hardwicke U.S.A. 2008
The host Bong Joon-ho Corée 2006
Dracula 2 : ascension Patrick Lussier U.S.A. 2003
Dracula, pages tirées du journal... Guy Maddin Canada 2002
Trouble every day Claire Denis France 2001
Dracula 2001 Patrick Lussier U.S.A. 2000
Vampires John Carpenter U.S.A. 1997
Addiction Abel Ferrara U.S.A. 1995
Dracula, mort et heureux de l’être Mel Brooks U.S.A. 1995
Entretien avec un vampire Neil Jordan U.S.A. 1994
Dracula Francis Ford Coppola U.S.A. 1992
Aux frontières de l'aube Kathryn Bigelow U.S.A. 1987
Predateurs Tony Scott U.S.A. 1983
Nosferatu, fantôme de la nuit Werner Herzog Allemagne 1979
Les vampires de Salem Tobe Hooper U.S.A. 1979
Martin George A. Romero U.S.A. 1977
Rage David Cronenberg Canada 1977
Dracula John Badham U.S.A. 1974
Du sang pour Dracula Paul Morrissey U.S.A. 1974
La légende des 7 vampires d’or Roy Ward Baker G-B 1974
Dracula vit toujours à Londres Alan Gibson G-B 1973
Dracula 73 Alan Gibson G-B 1972
La fille de Dracula Jesus Franco Espagne 1972
Dracula, prisonnier de Frankenstein Jesus Franco Espagne 1972
Les lèvres rouges Harry Kümel Belgique 1971
Les cicatrices de Dracula Roy Ward Baker G-B 1970
The vampire lovers Roy Ward Baker G-B 1970
Une messe pour Dracula Peter Sasdy G-B 1970
Les nuits de Dracula Jesus Franco Espagne 1970
Dracula et les femmes Freddie Francis G-B 1968
Le bal des vampires Roman Polanski U.S.A. 1967
Billy the Kid contre Dracula William Beaudine U.S.A. 1966
Dracula, prince des ténèbres Terence Fischer G-B 1966
Et mourir de plaisir Roger Vadim France 1960
Les maîtresses de Dracula Terence Fischer G-B 1960
Le cauchemar de Dracula Terence Fischer G-B 1958
Le retour de Dracula Paul Landres U.S.A. 1958
Deux nigauds contre Frankenstein Charles Barton U.S.A. 1948
La maison de Dracula Erle C. Kenton U.S.A. 1945
La marque du Vampire Tod Browning U.S.A. 1935
Vampyr Carl Theodor Dreyer France 1932
Dracula George Melford U.S.A. 1931
Dracula Tod Browning U.S.A. 1931
Drakula Karoly Lajthay Hongrie 1923
Nosferatu Friedrich Wilhelm Murnau Allemagne 1922

Portrait physique

Dracula est un vampire bien particulier : pour son créateur, Bram Stoker, il s’agit du vampire originel, du premier vampire. Le roman n’avance cependant pas d’explication quant à l’accession de Dracula au statut de buveur de sang : nous savons seulement que, comme ses semblables, son âme ne peut accéder à la paix éternelle ; l’élimination du roi vampire est ainsi une délivrance, comme le remarque un personnage du roman : « une expression de paix se répandit sur ce visage où jamais je n’aurais cru que ne pût apparaître rien de tel ». Le roman ne fait que rappeler la cruauté et le goût du pouvoir du mortel qu’était Dracula, suggérant ainsi que là réside l’explication de sa damnation. Dans le film de Francis Ford Coppola, il aurait choisi de se détourner de l’Église, dont les représentants avaient refusé que sa femme soit enterrée sous prétexte qu’il s’agissait d’un suicide.

Dans l'imaginaire collectif, le comte Dracula est représenté comme un aristocrate dans la force de l'âge, grand et svelte, avec des traits fins, le teint pâle et les cheveux noirs. Il est habillé d'un costume sombre et d'une grande cape noire à doublure rouge.

En réalité, cette représentation a évolué dans le temps. Le Dracula originel, celui de Bram Stoker, ne correspondait pas à cette peinture : il s'agissait d'un vieillard — qui rajeunissait tout au long du roman — plutôt laid et repoussant, ayant un corps grand et maigre, un nez aquilin, des sourcils broussailleux, des cheveux rares aux tempes, une épaisse moustache, des doigts courts et forts, des paumes poilues et une haleine fétide.

Le Nosferatu de Friedrich Wilhelm Murnau et celui de Coppola sont également laids et inquiétants ainsi que la Marguerite Chopin du Vampyr de Dreyer.

Portrait moral

Le structure du Dracula de Stoker est particulière : la plupart des personnages tiennent un journal et c’est l’assemblage de ces différents témoignages qui constitue le résultat final.

Dans ces témoignages, le vampire est, la plupart du temps, présenté comme un monstre sans cœur, une représentation du mal absolu. Mais ce n’est pas toujours le cas. Il est ainsi remarquable que Mina Harker éprouve de la pitié à son égard.

Quant à Abraham Van Helsing, il est véritablement fasciné, tant par le personnage historique que Dracula a été que par le vampire lui-même ; il s’émerveillera, ainsi, de l’ingéniosité dont le prince des ténèbres a fait preuve pour préparer son voyage jusqu’à Londres : "Si un autre parmi les non-morts avait tenté cette même entreprise, tous les siècles qui furent et ceux qui seront n’y auraient peut-être pas suffi (…). Il a tout accompli tout seul, tout seul, à partir d’une tombe en ruine au fond d’un pays oublié (p 516-518)".

Dans les autres adaptations, le vampire apparaît avec des traits de caractère différents. Dans Nosferatu, fantôme de la nuit (Murnau, 1921), il est une véritable victime, prisonnier du temps qui ne le laisse pas en paix : il avoue ainsi à Jonathan sa douleur de ne pas pouvoir mourir.

Dans les films de la Hammer, Dracula est certes un personnage cruel, mais il possède également un certain sens de la justice : dans Dracula (Terence Fisher, 1958), s’il décide de vampiriser la fiancée de Jonathan c’est, affirme Van Helsing, parce que ce dernier a tué la femme-vampire qui vivait avec lui ; de même, dans Une messe pour Dracula, le vampire entreprend de faire tuer les hommes qui ont assassiné celui qui lui a permis de renaître de ses cendres.

Le Dracula de Francis Ford Coppola nous dévoile, lui, un personnage qui provoque franchement la sympathie du spectateur en renversant les symboles du bien et du mal : c’est en effet à cause de la cruauté de l'église que Dracula a accédé à l’état de vampire. Son caractère attachant s’exprime également, paradoxalement, par son humanité : il se révèle capable d’aimer, de pleurer, d’éprouver de la sympathie.

L’évolution de la perception de Dracula esr parallèle par rapport à celle des personnages maléfiques en général : Dark Vador (Star Wars), Hannibal Lecter (Le Silence des agneaux), de Keyser Soze (Usual Suspects). Ces portraits ont acquis une réelle profondeur : les auteurs tentent d’expliquer les raisons qui ont poussé ces personnages à choisir la voie du mal, et ce choix s’est souvent fait dans la souffrance. Cette profondeur place le lecteur ou le spectateur en situation de sympathie vis-à-vis d'eux.


Pouvoirs et incapacités


Les facultés prêtées à Dracula varient selon les versions. Ainsi, dans le roman de Bram Stoker, le roi vampire possède de nombreux pouvoirs

Le roman détaille également un grand nombre d'incapacités

Par ailleurs, il existe plusieurs moyens pour le détruire. Le roman de Bram Stoker indique plusieurs moyens:

Hormis le personnage du comte Dracula, on trouve dans le roman, Jonathan Harker, jeune clerc de notaire qui travaille pour le compte du notaire, M Hawkins. Il est fiancé à Mina Murray, jeune institutrice qu'il épouse. Il se rend en Transylvanie auprès du comte Dracula pour affaires. Lucy Westenra est l'amie de Mina Murray. Elle se fiance avec Arthur Holmwood après avoir rejeté les demandes en mariage du docteur John Seward (médecin qui dirige un hôpital psychiatrique qui restera à son chevet tout au long de sa maladie). R.M. Renfield est un déséquilibré mental qui est soigné par le Dr John Seward dans son hôpital psychiatrique. Le docteur Abraham Van Helsing est un docteur hollandais, professeur et ami de John Seward. Il vient au chevet de Lucy sur la demande de ce dernier. Arthur Holmwood lord Godalming est le fiancé de Lucy et ami de John Seward et de Quincey P. Morris, un Texan lui aussi amoureux de Lucy.

L'opposant le plus vigoureux au Comte Dracula est ainsi Abraham Van Helsing dont on trouve trace dans Le bal des vampires (Polanski) où la jeune chasseuse de vampire que l'on trouve dans la série Buffy.

Meredith Lacuve (texte revu le 15/10/2011)

Source : Wikipedia

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