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Un architecte, Henri Mercier, est appelé par le riche maharadjah d'Eschnapur,
le tout-puissant Chandra, pour procéder à divers travaux. Pendant
son voyage, le jeune homme s'éprend d'une danseuse sacrée, Seetha,
et lui sauve la vie alors que son escorte est attaquée par un tigre
dont la cruauté est légendaire. ll la revoit dansant parmi les
prêtres, dans le temple. Le maharadjha étant également
épris d'elle, une rivalité féroce ne va pas tarder à
opposer les deux hommes.
Cependant, un complot se noue au palais : le propre frère de Chandra. Ramighani, intrigue pour le renverser. Seetha servira d'appât à ses noirs desseins. Après diverses péripéties, Mercier réussit à quitter le palais avec sa bien-aimée et à gagner le désert. Mais rompus de fatigue, ils s'évanouissent dans les sables
En 1956, Lang reçoit des propositions allemandes et il rentre en Europe. Il dirige
en Inde une coproduction inspirée d'un de ses scénarios de jeunesse écrit
pour Joe May en 1921 avec sa femme Thea von Harbou et se bat avec les studios
de la Bavaria comme il s'était battu contre ceux d'Hollywood pour maintenir
ses conceptions.
Le tigre du Bengale est la première partie d'un diptyque qui se poursuit avec Le tombeau hindou. (voir analyse de Jacques Lourcelles).