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Casanova '70
A
Paris avec Noelle, Andrea s'ennuit ferme dans un cabaret. Le soir sous prétexte
de rejoindre le quartier fénéralde l'Otan où il est major,
il guette adsn al reu sa maitresse en train de se deshabiller. il pénètre
danssa maison par al fenetre,se fait tire dessus ..et se retrouve au comissariat
de police. Noele fureiuse, accuse son amant d'être impuissant end ehostrde
se spetit jeux maniaques
De retour à Naples, inquiet sur son état il va consulter un psychamanyste. il lui raconte son échec avec une hotesse de l'airqui n'a que trois heures entre deux vols et 38 minutes pour faire l'amour et La femme de chambre joue de la guitare jusqu'à ce qu'elle s'endorme. Plus jeune il monta sur des échasses pour voir la femme du cordonnierle psyhanyste, assé uinquiétant,i luic onfirme la abisseinéluctable de sa libido : soit il se comporte en bison fureiux et il en mourra soit il fait veoux d'abstienece....
décidé à une cure de chasteté, Andrea se repose dans al station de montagne de Cervinia dans le nord de l4Italie . Il y rencontre la cahste et pure Gigliola, aristocrate des pouilles, au corps superbe quia fait veou de chasteté. il la demande en mariage...mais ne peut résister à miss Trud qui propose un baiser à qui sera capable de la rejoindre dans la cage aux lions. Abandonné par Gigliola, il décide de lâcher la bride au démon et de séduire la femme de son général. Surpris par celui-ci, quil a pérvenu, il esf envoyé en Sicile et tombe sosu al coupe dela fememd 'un comte jaloux. Ayant aidé une siciliènne à fuir ceux qui en cryaien aps (avec jeute raisonà=ensa virginité ilse retrouev à nouveau dans els Pouilles, à Altamura et tombe sous el charmede Santina, la sorcière...
Film
mineur par rapport à Mes chers amis ou Un bourgeois tout petit petit,
ce film est comme une récréation dans la comédie à
l'italienne. C'est la sixième et dernière collaboration entre
Monicelli et Mastroianni. Le film est produit par Carlo Ponti qui accompagna
Georges de Beauregard dans la production de la nouvelle vague française
tout en produisant aussi Le docteur Jivago.
Ponti organise cette production internationale autour d'un séducteur impuissant, qui n'a pas grand chose du personnage historique. C'est un film à la gloire de Mastroianni, acteur de La dolce vita et Huit et demi, acteur non-burlesque qui ne joue que des inflexions des parties du visage ou de la voix. Il retrouve là comme dans Divorce à l'italienne ou Mariage à l'italienne un personnage peu sympathique.
Mastroianni n'hésite jamais à remettre son image en jeu. Il interprète alors Rudolf Valentino dans Chao Rudy au théâtre Sixtine à Rome puis jouera ensuite pour la première fois à Londres avant de jouer dans La dixième victime, un curieux film d'anticipation d'Elio Petri.
Avec Mastroianni, en compagnie d'un personnage féminin différent joué par une actrice différente, on voyage entre Paris, Naples, Sicile, les Pouilles, Vincenze et Milan. On remarque aussi un comte faussement sourd interprété par Marco Ferreri. Age et Scarpelli aiment faire entendre les dialectes de la Sicile et des Pouilles. Avec ses sarcasmes contre la police, l'armée et la psychanalyse, le film est une charge contre les institutions et prône la légèreté, le plaisir de la récréation.
Le film anticipe aussi un peu sur la libération sexuelle en marche : tourné en 1965, il s'intitule Casanova' 70 comme pour promouvoir la modernité des personnages féminins urbains alors que les jeunes paysannes siciliennes ou des Pouilles restent à l'écart de la libération des mœurs. Le film est un éloge de la conquête : conquérir la femme que l'on désire, si l'on est sincère dans sa tentative de séduction, y apparaît comme un des seuls objectifs louables sur cette terre.
Source : Grégory Valens, critique de cinéma
à Positif, sur le DVD ci-dessous :
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Editeur : Carlotta-Films, juillet 2009. Nouveau master restauré. Version originale. Sous-Titres Français Prix public conseillé : 20 € |
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Suppléments:
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