Carnegie Hall

En 1891, Nora Ryan, une petite irlandaise, rejoint sa mère aux Etats-Unis et travaille avec elle au Carnegie Hall comme femme de ménage. Progressivement, elle gravit les échelons et devient directrice des programmes et épouse un pianiste nerveux et fragile, Tony Salerno qui meurt d'alccolisme alors que leur fils, Tony Jr. est encore un bébé.

Tony Salerno Jr. grandit en étant poussé à jouer du piano par sa mère. Celle-ci est desepérée quand Tony tombe amoureux d'une chanteuse de cabaret, Ruth Haines, et s'enfuit pour jouer avec le crooner et chef d'orchestre Vaughan Monroe. Finalement, Tony Jr. parvient a enregistrer un ensemble de disques, "American Rhythms, et dirige sa propre composition, "57th Street Rhapsody" sur la scène du Carnegie Hall en tant que pianiste et chef de l'Orchestre philharmonique de New York, avec le soliste Harry James à la trompette. Ce spectacle qui mêle «haute» et «basse» culture musicale emeut sa mère aux larmes.

De grands noms de la musique classique des années 1940 apparaissent dans le film : les chefs d'orchestre Walter Damrosch, Bruno Walter (le prélude Les Maîtres chanteurs de Nuremberg), Artur Rodzinski, Fritz Reiner et Leopold Stokowski; Le mezzo-soprano Risë Stevens (Samson and Delilah de Saint-Saëns, et Carmen de Bizet), les chanteur Lily Pons (L’Air des clochettes de Lakmé, l'opéra de Delibes), Jan Peerce et Ezio Pinza, le pianiste Arthur Rubinstein, le violoncelliste Gregor Piatigorsky (Le cygne du Carnaval des animaux de Saint-Saëns) et le violoniste Jascha Heifetz.