Auteur de pièces radiophoniques et - il faut bien vivre ! - employé d'agence immobilière, Simon aime secrètement Camille, brillante chercheuse en histoire et guide de tourisme à Paris, au point qu'il perturbe par sa présence les visites qu'elle organise.
Mais suite à un malentendu, Camille s'éprend du patron de Simon, le beau Marc, un coureur impénitent. Marc est en affaire avec la sœur de Camille, Odile, qui veut changer d'appartement et reproche à Claude, son mari, de manquer d'ambition et d'esprit d'initiative face à ce projet. Camille et Odile ont retrouvé par hasard une ancienne connaissance, Nicolas, qui vit à Londres et leur déclare vouloir s'installer à Paris avec sa famille, où il cherche à se loger... Ce qui lui donne l'occasion de rencontrer Simon et de sympathiser avec lui. Nicolas, hypocondriaque, au bord de la déprime, se voit confirmer par Jane, son épouse anglaise, lors d'un voyage-éclair à Paris, son désir de rompre. Camille et Odile le suspectent d'avoir des maîtresses (la suite leur donnera tort). Camille vit mal sa relation avec Marc, la cour maladroite de Simon et le stress de sa soutenance de thèse. Elle souffre de crises de spasmophilie. Odile arrive à ses fins : elle organise une pendaison de crémaillère dans un nouvel appartement, où tous se retrouvent. Et où tout se dénoue : Claude, qui a en fait une maîtresse, n'a pas le courage de quitter Odile, Marc est démasqué comme menteur et escroc, Camille cède à Simon, et Nicolas, qui se sent mieux, téléphone à Jane.
Les chansons, interprétées par les chanteurs de l'époque fonctionnent comme des capsules de temps; métaphore de la dépression en méduses dans une maison elle-même métaphore du cerveau.