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Romancier
sans succès, Joseph Turner tient depuis peu un poste de chercheur à
la Société de Littérature Américaine de Manhattan,
qui en réalité n'est qu'une des multiples sous-sections de la
C.I.A. : Turner et ses collègues décryptent et analysent des
romans d'espionnage afin d'y puiser des idées ou encore d'y trouver
des traces de fuites.
Un jour, Joseph découvre un réseau clandestin à l'intérieur de la C.I.A et le signale à ses supérieurs. Peu après, deux hommes déguisés en facteurs entrent dans l'agence et en abattent les occupants. Parti chercher son déjeuner, Turner, horrifié, découvre le massacre à son retour et se sauve.
Turner
contacte Higgins, le responsable de la section d'urgence. Identifié
sous le nom de Condor, il reçoit l'ordre d'éviter tout contact
et se réfugie chez une certaine Kathy Hale, qu'il persuade à
grand-peine de son innocence. Il échappe de peu à une tentative
de meurtre au domicile de la jeune femme. Après avoir enquêté
seul, Turner/Condor démasque les conspirateurs : Atwood et Joubert.
Il oblige Atwood à avouer. Ce dernier lui confie que le réseau
permettrait aux États-Unis d'acquérir en cas de crise d'énergie,
une influence décisive dans divers pays producteurs de pétrole.
Joubert surgit alors et, à la stupéfaction de Turner, il abat
son supérieur ! Le tueur a entre-temps été embauché
par la CIA...
Turner réalise que sa vie est menacée comme l'était celle d'Atwood. Il refuse l'offre de Higgins de rentrer dans le rang et lui révèle avoir livré le dossier au "New York Times". Sa vie est désormais entre les mains des journalistes.
Sydney
Pollack explore ici la paranoïa des années Nixon et du Watergate.