Accueil Fonctionnement Mise en scène Réalisateurs Histoires du cinéma Ethétique Les genres Les thèmes Palmarès Beaux-arts

Au revoir Charlie

1964

(Goodbye Charlie). Avec : Tony Curtis (George Tracy), Debbie Reynolds ("Charlie" Sorel), Pat Boone (Bruce), Joanna Barnes (Janie). 1h56.

Lors d'une party sur un yacht, Leopold Sartori surprend sa femme en flagrant délit d'adultère avec Charlie. Le mari trompé tire sur lui. Charlie disparaît par le hublot de la cabine. George Tracy revient spécialement de France pour prononcer l'éloge funèbre. Trois personnes seulement assistent à la cérémonie : les deux anciennes maîtresses de Charlie, ainsi que son agent.

George s'apprête à passer une nuit calme dans la demeure du défunt lorsqu'un automobiliste, Bruce Minton, lui remet une jeune femme perdue et amnésique. George consent à héberger celle-ci. Au milieu de la nuit, George est réveillé par des hurlements. La jeune femme affirme être Charlie ! Devant les preuves qu'elle fournit, George doit admettre que la jeune femme dit vrai.

"Charlie" accepte vite sa nouvelle condition de femme, et se présente comme la veuve du défunt. Elle commence donc à faire chanter ses deux anciennes maîtresses. Puis "Charlie" se rend à une party que donne Leopold, blanchi par un non-lieu dans la mort de Charlie. "Charlie" attendrit Leopold qui lui propose en vain le mariage.

Voulant pourtant se marier, "Charlie" voit en Bruce Minton le mari idéal. Pendant ce temps, George fomente un plan pour faire opérer "Charlie" et lui rendre son sexe d'origine. Leopold, comprenant qu'il s'agit de Charlie, se rend chez elle. Il la poursuit à travers la villa. Rusty, la propre femme de Leopold intervient un revolver à la main. "Charlie" doit encore se jeter à l'eau. George perd son ami pour la seconde fois.

Arrive chez lui un énorme chien, propriété d'une jeune femme qui a les traits de "Charlie". Elle et George sont attirés l'un vers l'autre. Le chien, dont le nom est Charlie, connaissant les recoins de la maison, se saisit d'une bouteille cachée, et se met à hurler.

Retour