Avec
ce film, Eugène Deslaw tenta de réaliser une symphonie à
la gloire du monde moderne et de ses plus fidèles représentants:
les machines et leurs pistons, rouages, mécanismes d'entraînement
etc. Une illustration de la quête moderniste et de sa valorisation de
la poétique de la machine. La prise de vues fut effectuée par
Boris Kauffman. À l'origine le film était sonorisé avec
une musique de Luigi Russolo
Eugène Deslaw
|