Né en 1937
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18 films | ||
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Après un diplôme de l'IDHEC, Christian de Chalonge est second, puis premier assistant auprès de plusieurs réalisateurs (Henri-Georges Clouzot, Alain Jessua, Georges Franju, Tony Richardson).
En 1967, Christian de Chalonge opte d'emblée pour un cinéma engagé à l'époque où une large frange de la profession se limite souvent à des productions relativement neutres. Avec Le saut (1967) qui retrace l'itinéraire de plusieurs familles portugaises arrivées clandestinement en France pour y travailler, il remet en cause, un an avant les événements de mai 68, les idéaux confortables et bourgeois de la société française et obtient un premier succès.
Il lui faut néanmoins attendre quatre ans pour réaliser son deuxième long métrage, L'alliance (1971), où il met des acteurs de renom (Anna Karina, Jean-Pierre Darras, Tsilla Chelton) au service d'une histoire de couple empreinte d'une touche fantastique. Peu prolifique, il connaît de nouveau le succès huit ans plus tard avec L'argent des autres (1978) où il exprime une vision pessimiste du monde à travers la description d'une société ultra-capitaliste. Il opte franchement pour le fantastique en adaptant le roman de Robert Merle Malevil (1981), description d'une terre ravagée par une catastrophe nucléaire.
A nouveau huit années de purgatoire avant la sortie du Docteur Petiot, interprété par un inquiétant Michel Serrault, qui met en scène un serial killer des plus énigmatiques. En 1991, Christian de Chalonge signe Le voleur d'enfants, sorte de conte fantastique adapté de l'oeuvre du poète surréaliste Jules Supervielle. Remarqué à sa sortie en raison de ses prestigieux interprètes (Marcello Mastroianni, Angela Molina, Michel Piccoli), ce film très personnel ne fait pas l'unanimité du public. Il en est de même pour Le bel été 1914 (1996) et pour Le comédien (1997).
Filmographie :
1967 | le saut |
(O Salto) Avec : Marco Pico (Antonio), Antonio Passalia (Carlos), Ludmila Mikaël(Dominique). 1h30. Antonio, un menuisier miséreux décide de quitter son pays, le Portugal pour échapper à la guerre colonialiste et trouver du travail. Sur les conseils de son ami Carlos. Il fait appel à des passeurs. Il traverse l'Espagne pour la France dans les pires conditions, mais le passage est cher et dangereux. Arrivé à Paris, c'est, inéluctablement, la désillusion |
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1970 | L'alliance |
Avec : Jean-Claude Carrière ( Hugues), Anna Karina (Jeanne), Tsilla Chelton (Mme Duvernet), Andre Gille (Monsieur Sedaine).1h30. Hughes est un vétérinaire passionné par son métier et par les animaux en général. Par l'intermédiaire d'une agence matrimoniale, il se met à la recherche d'une compagne dont l'une des qualités premières doit être de posséder un vaste appartement, où il pourra installer tous les animaux qu'il étudie de près. Le responsable de l'agence propose à Hughes de rencontrer une jeune femme qui semble la compagne idéale : Jeanne, qui est d'origine étrangère, absolument seule et superbement logée ! L'"alliance" se fait donc entre Hughes et Jeanne, mais c'est en fait, entre deux inconnus, le début d'un jeu subtil d'observation réciproque. Jeanne, très énigmatique, se livre à des manèges ambigus et à des sorties mystérieuses. Très intrigué, méfiant même, Hughes l'observe, l'épie, l'espionne comme si elle était un de ces animaux étrangers dont il s'occupe. Le vétérinaire, de son côté, apparait à Jeanne comme un homme bizarre, qui se terre dans la pièce où il a installé ses animaux - chats, insectes, lémuriens... Dans l'ambiance très particulière qui commence à-régner dans l'appartement, seule Hélène - la domestique - reste un être "normal", doué d'un bon sens commun; mais elle va avoir de plus en plus peur... Peu à peu, Jeanne perce le mystère entretenu par Hughes : il semble se livrer à des études sur les sens inconnus et la perception extrahumaine des animaux. Hughes est même en contact avec toute une société secrète d'initiés... Hélène finit par partir. Alors que, pour la première fois, Jeanne et Hughes, restés seuls face à face, s'abandonnent enfin passionnément, dans une étreinte sans réserves, qu'une inexplicable lueur illumine le monde. Seuls quelques coléoptères peuplent désormais un désert blanc... |
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1978 | L'argent des autres |
Avec : Jean-Louis Trintignant (Henri Rainier), Catherine Deneuve (Cécile Rainier), Michel Serrault (Miremont), Claude Brasseur (Claude Chevalier d'Aven), François Perrot (Vincent). 1h45.
Henri Rainier, fondé de pouvoir dans une importante banque parisienne, est impliqué malgré lui dans un scandale financier. |
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1981 | Malevil |
Avec : Michel Serrault (Emmanuel Comte), Jacques Dutronc (Colin), Jean-Louis Trintignant (Fulbert), Jacques Villeret (Mom). 1h59.
Se réfugiant dans sa cave afin de lire une lettre de son fils exilé en Australie, Emmanuel, maire d'un petit village Français et propriétaire du château de Malevil, est interrompu par Peyssou, un paysan, Bouvreuil, le pharmacien, et Colin, suivis de La Menou et son fils Momo, arriéré mental, et du vétérinaire, qui souhaitent lui soumettre un problème d'aménagement de l'éclairage des rues. Soudain une violente déflagration les jette tous à terre, se prolongeant de très longues secondes au cours desquelles la température devient insupportable, faisant éclater les bouteilles de vin, soulever les couvercles des conserves et retirer aux victimes leurs vêtements. Les manifestations de ce qui apparaîtra être une explosion nucléaire cessent. Longtemps les rescapés restent sans parler. Puis ils se décident à sortir pour constater qu'il ne reste que des ruines du village. Par chance, quelques animaux sont encore en vie. Ils assureront la nourriture nécessaire au groupe auquel se joindra Cathy, devenue aveugle et retrouvée par Momo dans une grotte. Petit à petit, le groupe s'organise : le pharmacien répertorie les médicaments tandis que Colin bricole un émetteur. Emmanuel, en dépit de la situation, conserve son titre de maire. Un autre groupe a trouvé refuge sous un tunnel, dans un train bloqué à cet endroit lors de la catastrophe. A sa tête, Fulbert, un fasciste qui impose sa loi et profite des femmes. Au cours d'un affrontement, Fulbert sera tué et son groupe rejoindra Malevil. Peu après, des hélicoptères apparaissent dans le ciel. Une voix demande à tous les rescapés de se rassembler. Ils sont emmenés vers me destination inconnue tandis que sur la rivière un radeau emporte quelques échappés. |
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1982 | Les quarantièmes rugissants |
Avec : Jacques Perrin (Julien Dantec), Julie Christie (Catherine Dantec), Michel Serrault (Barral), Gila von Weitershausen (Emilie Dubuisson). 2h12. Ingénieur électronicien spécialisé dans l'équipement maritime, Julien Dantec apprend qu'un grand quotidien organise une course de navigateurs en solitaire, autour du monde et sans escale. Il propose à Janvier, grand favori de la course, d'équiper son bateau d'une de ses inventions - un correcteur de cap. Mais Janvier refuse, et Dantec, très déçu, décide de relever lui-même le défi : il participera à cette compétition. Pour trouver le financement et construire son bateau, Dantec est aidé par un certain Barral, journaliste qui lui propose d'être son agent à terre et d'organiser l'aspect " relations publiques " de cette vaste entreprise. Dantec, cependant, prend un mauvais départ, son embarcation posant des problèmes jusqu'à la dernière minute. Ce qui ne fait qu'accentuer les doutes et l'inquiétude de sa femme Catherine, qui va rester seule, avec ses deux enfants, Denis et Valérie. Les difficultés de Dantec continuent en mer : il perd le contact avec la terre. Barral maquille les faits auprès de la presse et avance délibérément la position du bateau de Dantec. Lorsque ce dernier apprend la supercherie, il ne dément pas et commence à s'installer dans le mensonge : au lieu de passer le Cap de Bonne Espérance, étape prévue, il s'enfonce dans l'Atlantique et fait escale au Brésil, ce qui est, bien sûr, rigoureusement interdit par le règlement de la course. Après quatre mois de silence, on saura qu'il est vivant. Dantec apprend le naufrage du seul concurrent encore en course, Janvier, mais il se refuse à jouer le jeu de Barral, qui le fait passer pour le vainqueur de la compétition. Devant l'impossibilité de parler directement avec sa femme sans que les journalistes s'en mêlent, se sentant pris au piège, Dantec se laisse dériver, et on retrouvera un peu plus tard son trimaran abandonné dans la Mer des Sargasses... |
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1989 | Le diable en ville |
Télé-série des dossiers secrets de l'inspecteur Lavardin | |
1990 | Le château du pendu |
Télé-série des dossiers secrets de l'inspecteur Lavardin | |
1990 | Docteur Petiot |
Avec : Michel Serrault (Docteur Petiot), Bérangère Bonvoisin (Georgette Petiot), Aurore Prieto (Madame Guzik), Pierre Romans (Drezner). 1h35. Sous l'Occupation, en 1942. Bon père, bon époux, prêt à offrir la gratuité de ses consultations à ses patients les plus démunis, attaché à une fillette malade à qui il rend visite dans la demeure sans électricité de ses parents, les Gibert le docteur Marcel Petiot est en réalité un personnage trouble et monstrueux. Sous le nom de Docteur Eugène il sert d'intermédiaire entre des Juifs menacés et des passeurs. Mais ceux qui lui font confiance, comme Nathan Guzik ou Madame Kern, courent non vers la liberté mais vers la mort. Petiot les conduit dans un hôtel particulier des beaux quartiers parisiens qu'il compte transformer en clinique après la guerre et sous prétexte d'un vaccin obligatoire pour l'étranger, les endort dérobe leur argent puis se livre à un curieux et macabre rituel avant de dépecer leurs corps et les brûler dans la chaudière. C'est là également que disparaissent les corps de ceux qui ont péri sous la torture de la Gestapo française, avec laquelle il est lié. Rangé du côté des plus forts. il se protège également d'un retournement de situation en délivrant à des jeunes gens des certificats de complaisance d'inaptitude au STO. 1943. Le Juif Ivan Drezner est pris au piège par ceux-là même qui l'ont fait s'évader du camp de Compiègne. Devant payer sa liberté en livrant les noms d'une filière d'évasion à l'étranger, il a donc recours aux services du docteur. Le fait d'être suivi par la Gestapo devrait le protéger du monstre. Mais celui-ci égare les poursuivants dans les allées du Parc Monceau, et fait subir à Drezner le même sinistre sort. Un jour, un feu de cheminée permet à la police de découvrir le charnier. En fuite. Petiot usurpe l'identité d'un résistant déporté et se trouve en août 1944 capitaine de l'armée de Libération, préparant l'épuration. C'est lui-même, en fait qui va faire courir le bruit que Petiot se cache sous l'uniforme. Reconnu par son colonel, il est arrêté dans un cinéma. Sont alors découverts tous les biens et effets personnels dont ont été dépouillées ses victimes. Il sera exécuté le 24 mai 1946. |
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1991 | Le voleur d'enfants |
Avec : Marcello Mastroianni (Philémon Bigua), Ángela Molina (Desposoria), Michel Piccoli (Armand Lenor), Virginie Ledoyen (Gabrielle). 1h50. Paris, 1925. Le colonel Philémon Bigua, cinquante ans, riche Argentin, exilé politique, rêve de retourner dans son pays, où il fut un héros. Comme son épouse, Desposoria, la trentaine, ne peut lui donner d'enfants, il vole ceux des autres. Pas n'importe lesquels, cependant : des enfants malheureux et mal aimés, et uniquement des garçons. C'est ainsi que neuf gamins âgés de trois à onze ans et un adolescent de dix-sept ans, Joseph, s'ébattent dans l'immense appartement labyrinthique qu'occupe le couple, pour la plus grande joie de Bigua. Mais la douce et aimante Desposoria vit dans la peur inquiète d'une dénonciation. Aussi, bien que cette "chasse" à l'enfant lui procure un dérivatif à l'ennui, Bigua lui promet-il de cesser d'en ramener après son "petit dernier", le onzième. Il décide cependant d'"adopter" une fille, une vraie Parisienne, pour pouvoir la montrer à ses congénères quand il sera rentré au pays. C'est alors que son ami Armand Lenoir - un illusionniste propriétaire d'un petit théâtre, que sa passion des automates a ruiné - lui vend sa fille Gabrielle, âgée de quinze ans, qui devient la coqueluche de la famille. Troublé par la beauté de l'ingénue, Bigua connaît les affres de la tentation, d'autant plus qu'il se croit moralement investi du rôle de père. Joseph a moins de scrupules et, une nuit, force la porte de la chambre de Gabrielle. Bigua met à profit cette nouvelle incartade de son "aîné", que sa récente révolte contre l'autorité paternelle indisposait, pour le jeter dehors. Un soir où Desposoria et les enfants sont terrassés par la grippe. Bigua doit coucher dans la chambre de Joseph, qui jouxte celle de Gabrielle. Toute la nuit, le fier Argentin lutte pour ne pas rejoindre celle-ci. Il est sur le point de s'y résoudre, quand, rongé par un fort sentiment de culpabilité, il quitte la maison. Estimant avoir tout perdu, l'amour, l'honneur, la dignité, la paix, il se jette dans la Seine. Mais, se souvenant qu'il a conservé sur lui le testament en faveur de ses enfants adoptifs, il regagne la berge à la nage... Bigua reste prostré jusqu'au jour où Gabrielle lui annonce qu'elle est enceinte. En faisant de lui un grand-père, elle devient vraiment sa fille ! Son rêve s'accomplit : un enfant naîtra chez lui, mais sur le paquebot transatlantique qui les emmène tous en Argentine. |
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1996 | Le bel été 1914 |
Avec : Claude Rich (Le Comte de Sainteville), Hippolyte Girardot (Pierre Mercadier), Judith Henry (Paulette Mercadier), Maria Pacôme (Maria). 1h57. Le comte de Sainteville, presque ruiné, vit seul dans son château, porte encore beau et garde l’illusion de sa gloire passée, même s’il a dû vendre un morceau de terrain au docteur Moreau, qui y a installé un sanatorium et souhaite l’agrandir. En ce début d’été 1914, il a aussi loué une partie des lieux à des roturiers lyonnais nouveaux riches, Ernest, Blanche et leurs filles, Suzanne et Yvonne. Ces cohabitations contrarient le comte, bien sûr, mais encore plus ceux qui viennent passer les vacances, à leur habitude : sa nièce Paulette, mariée à Pierre Mercadier, un velléitaire qui se pique de progressisme, et mère d’un garçonnet, Gabriel. Blanche attire tous les hommes, le comte, le jeune Gabriel, dont la sensualité s’éveille, et surtout Pierre qui se prend pour elle d’une folle passion – partagée par la jeune femme qui reste pourtant plus raisonnable. C’est la canicule et quelques orages violents éclatent. Les enfants découvrent les douleurs qui peuvent naître dans les jeux de l’amour. L’excentrique Marie, sœur du comte et mère de Paulette, arrive inopinément, se prétend malade, observe d’un œil très critique ces couples qui se défont et exaspère son frère par ses commentaires sur la ruine qui est proche. Les enfants comprennent eux aussi ce qui trouble leurs parents et Suzanne, bouleversée, fait une fugue qui manque de se terminer tragiquement. Marie meurt. C’est la fin de l’été et des dernières illusions. Les nouvelles du monde sont mauvaises. Blanche revient vers son mari, Pierre renonce à sa famille et à sa position, le docteur entre en possession du domaine hypothéqué : ses tuberculeux errent déjà dans le parc. «J’espère qu’ils auront la guerre» dit le comte, lors des obsèques de sa sœur. |
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1997 | Le comédien |
Avec : Michel Serrault (Le comédien), Charles Aznavour (M. Maillard), Maria de Medeiros (Antoinette Vervier), Nathalie Serrault (Jacqueline Maillard), Daniel Prévost (Un acteur). 1h37. Dans les coulisses du théâtre, alors que la dernière représentation vient de se terminer, le comédien regagne sa loge. Sa maîtresse, qui est aussi sa partenaire, l'y attend pour lui faire une scène. Ils se disputent et se séparent. Au grand désespoir de l'habilleuse qui souhaiterait attraper le dernier métro, une série de personnages viennent dans la loge faire leurs adieux au comédien. Parmi ceux venus lui rendre hommage, il voit débarquer son ami d'enfance Maillard. Celui-ci est confronté à une situation embarrassante : sa jeune nièce Jacqueline s'est éprise du comédien. Le comédien part en voyage avec la nièce espérant qu'ainsi la jeune femme oubliera ce qu'il croit être une simple toquade. |
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1999 | Un meurtre de première classe |
Maigret - Saison 8, Episode 3 | |
2002 | Maigret et le marchand de vin |
Maigret - Saison 11, Episode 1. Avec : Bruno Cremer (Commissaire Jules Maigret), Alexandre Brasseur (Inspecteur Paul Lachenal), Thierry Frémont (Pigou), Nicole Croisille (Blanche), Carole Brenner (Jeanne Chabut), Bénédicte Loyen (Anne-Marie). 1h35 | |
2002 | Maigret chez le ministre |
Maigret - Saison 11, Episode 2. Avec : Bruno Cremer (Commissaire Jules Maigret), Alexandre Brasseur (Paul Lachenal), Bernard Freyd (Auguste Point), Gisèle Casadesus (Mme Calame), Laure Marsac (Claire Point), Christophe Reymond (Jacques Fleury). 1h30. | |
2002 | La maison de Félicie |
Maigret - Saison 11, Episode 4. | |
2007 | L'avare |
Avec : Michel Serrault (Harpagon), Cyrille Thouvenin (Cléante), Fanny Valette (Elise), Micha Lescot (Valère), Jackie Berroyer (Maître Jacques), Nada Strancar (Frosine), Nicolas Vaude (La Flèche), Louise Monot (Mariane). 2h20. Élise et Cléante, les enfants du cupide Harpagon, sont tous deux amoureux. Tandis qu’Élise ne pense qu'à Valère, un gentilhomme au service de son père, Cléante est follement épris de Marianne, une jeune fille défavorisée. Mais Harpagon, uniquement motivé par l'avarice, compte bien unir sa descendance à de riches familles, et épouser lui-même Marianne. |
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2008 | Le malade imaginaire |
Téléfilm. Avec : Christian Clavier (Argan), Marie-Anne Chazel (Toinette), Didier Bénureau (Diafoirus père), Wladimir Yordanoff (Béralde). 2h00. Argan s'invente des maladies à longueur de temps, et ne cesse de demander après son médecin. Pour disposer de soins à domicile, il souhaite faire épouser Thomas Diafoirus, médecin de métier, à sa fille Angélique. Mais cette dernière est amoureuse de Cléante. |
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2009 | Le bourgeois gentilhomme |
Téléfilm. Avec : Christian Clavier (Monsieur Jourdain), Michèle Bernier (Mme Jourdain), Constance (Nicole), Audrey Fleurot (Dorimène), Francois Vincentelli (Dorante), Pierre Louis-Calixte (Covielle), Arthur Dupont (Cléonte), Constance Rousseau (Lucile). 1h39. En tant que bourgeois, Monsieur Jourdain est déterminé à acquérir les manière d'un homme de qualité. Il décide donc de s'entourer de plusieurs professeurs (maniement des armes, apprentissage de la musique, de la philosophie...). Amoureux de la Marquise Dorimène, Jourdain est néanmoins utilisé comme un pantin par le Comte Dorante qui profite de cette situation pour voler le bourgeois... |
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