En 1883 le critique Joris-Karl Huysmans (L’Art moderne) invite les peintres à exprimer sur la toile cette « fièvre moderne que présente l’activité de l’industrie ». La magnificence colorée des aciéries vues par Maximilien Luce sur le site de Charleroi apparaît comme une réponse à ce vœu, quinze ans plus tard.