Beauté divine !, Tableaux des églises bas-normandes, 16e-20e siècles. |
Près de 3 000 peintures sont inventoriées dans les églises des trois départements bas-normands et parmi elles quelques trésors. Pour porter un regard neuf sur ces tableaux qui ont leur place loin des musées, la Direction de l'inventaire général du patrimoine culturel Région Basse-Normandie (DIGPC) pilote depuis 2008 un projet d'étude et de valorisation de ces œuvres. Ce travail avec les services patrimoine des trois départements se concrétise aujourd'hui par l'édition d'un catalogue regroupant une sélection de 130 œuvres et 42 peintures qui sont sorties de leur contexte le temps d'une exposition conçue avec le Musée de Normandie.
L'exposition se penche plus particulièrement sur les tableaux produits pour les églises bas-normandes dévoilant, grâce aux indices trouvés lors des recherches, l'histoire des artistes locaux, des commanditaires et des communautés religieuses. Pour le fil conducteur de l'exposition, le choix du musée s'est porté sur les fêtes religieuses inscrites au calendrier mais aussi à quelques découvertes restaurées pour l'occasion.
BNoël, Chandeleur, Pâques, Ascension, Assomption, Toussaint… Sous l’angle des fêtes religieuses oubliées ou rythmant encore notre calendrier, un parcours thématique invite à découvrir 42 toiles représentatives d’une production picturale qui rassemble près de 3 000 tableaux dans les églises paroissiales de BasseNormandie. La plupart inédites, elles nous content une autre histoire de la région : celle des commanditaires et donateurs (familles seigneuriales, confréries, clergé…) dont les portraits, armoiries ou inscriptions ornent les toiles ; celle des nombreux artistes sollicités pour répondre à la demande. Aux côtés des peintres locaux sortis de l’anonymat, les Païs, Bichue, Pilet…, aux côtés de la famille Restout si active sur nos territoires, se détachent quelques figures nationales, tel Suvée appelé par l’évêque de Sées. Dans cette profusion d’images, où la lisibilité et le sens comptaient plus que l’originalité, la copie des grands maîtres d’après gravure a occupé une place centrale. Néanmoins, les inventaires de terrain ont suscité leur lot de découvertes. En clôture de l’exposition, six d’entre elles, peintures italiennes ou françaises des XVIIe et XIXe siècles, viennent témoigner des richesses insoupçonnées abritées sous les clochers du Calvados, de la Manche et de l’Orne.
I. Les fêtes
L’année a de tout temps été rythmée par des fêtes religieuses, consignées dans les diurnaux et parfois gravées par des artistes tels que Jacques Callot. Célébration d’un saint chaque jour ou commémoration d’épisodes majeurs tirés des Ecritures qui retrouvèrent renommée et faste après le Concile de Trente, ces fêtes, dont le nombre a diminué depuis la fin de l’Ancien Régime, ont souvent perdu de leur sens dans une société fortement déchristianisée.
Parmi les grandes fêtes initiées par la Contre-Réforme, celle du Rosaire a bénéficié de l’activité des nombreuses confréries encadrées par les Dominicains. Des nombreux tableaux ayant orné les autels du Rosaire (tableau d’une Donation du rosaire de Neauphe-sur-Dive), certains encore en place représentent les mystères de la Vierge dans une composition rappelant les grains du Rosaire. Les bannières de procession, dont la très belle bannière peinte de Vimoutiers signée Daverne exposée ici, expression d’une piété populaire, et les documents du début du XXe siècle relatifs à la Fête-Dieu, nous rappellent que la ferveur des fidèles ne se limitait pas à l’église mais gagnait l’ensemble du territoire de la paroisse.
II. Les commanditaires et donateurs
Les tableaux, qui participent du décor de la Contre-Réforme, sont un symbole de la vitalité des paroisses. Mieux connaître leurs commanditaires et financeurs permet d’appréhender la vie paroissiale et le rôle de chacun des corps de la société : le clergé (curé, chanoine ou ordre religieux), les familles seigneuriales, les confréries et les fabriques représentant les fidèles. Le parcours mett en lumière les différents commanditaires. Les laïcs : seigneurs se faisant représenter ou apposant leurs armoiries ; une personnalité souhaitant affirmer son influence dans la paroisse (Baptême du Christ d’Aubigny), les confréries commandant des tableaux dont l’iconographie révèle leur rôle dans la société (confrérie des Trinitaires de Rauville-la-Bigot) ; les fabriques, commanditaire révélé par les sources plus que par les inscriptions. Les religieux : curé qui se fait représenter, chanoine, dont les armoiries inscrites sur le tableau destiné à orner le maître-autel de l’église rappellent qu’il est titulaire de la prébende (Adoration des Mages d’Esquay-surSeulles), et ordres religieux, commanditaires des œuvres les plus prestigieuses. Les œuvres des communautés religieuses sont l’occasion d’évoquer les dispersions révolutionnaires et d’amorcer la réflexion sur l’enrichissement des églises au XIXe siècle. Des églises rurales ont ainsi profité des épaves des grands décors des abbayes pour orner leurs murs ou leurs autels (Visitation de Barfleur). D’autres ont bénéficié des envois de l’Etat, ces dépôts accordés à la faveur d’une reconstruction ou d’une restauration de l’église, de l’intervention d’une personnalité influente (Visitation de Cesny-aux-Vignes demandée par Mme de Quélen). Enfin, il y a la pratique du don : celui d’un paroissien, celui d’un curé ou ceux, très bien renseignés, d’un enfant de la commune (ensemble de tableaux flamands de Saint-PierreAzif), d’une personnalité locale ou du peintre lui-même (Résurrection de Genêts). Enfin, nombreuses ont été les cités balnéaires, dont les églises sorties de terre au cours du XIXe siècle semblent avoir trouvé parmi les villégiaturistes les plus fortunés des donateurs d’œuvres d’art, le plus souvent anonymes.
III. Les peintres
Dans la continuité des travaux de Philippe de Chennevières au XIXe siècle et des recommandations d’André Chastel lors de la création de l’Inventaire en 1964, l’étude s’est fixé pour mission de mieux cerner la population des peintres locaux, celle à laquelle la majorité des commanditaires s’est adressée. Les tableaux de l’exposition illustrent les quelques foyers identifiés (Falaise et le Perche au XVIIe, Caen aux XVIIe et XVIIIe siècles, Argentan au tournant du XVIIIe siècle, Bayeux au XVIIIe siècle), dans une région n’ayant connu ni corporation, ni confrérie de peintres, ni école de dessin. Dans ce contexte, la formation familiale s’est révélée prépondérante, facilitant l’affirmation de dynasties (famille de la Vente) ou l’influence d’atelier de peintres importants comme Eustache Restout à l’abbaye de Mondaye. Dans le cadre de la préparation de l’exposition, une restauration a mis au jour la signature de Marc Restout, premier des peintres de cette prestigieuse dynastie, sur l’Annonciation des Yveteaux. Les travaux scientifiques menés pour l’occasion ont également permis d’attribuer à Jean II Restout une Résurrection (Tournay-sur-Odon) de jeunesse, et à son père Jean I Restout une Naissance de saint Jean-Baptiste (Loucé) aux coloris éclatants. Parmi ces peintres, beaucoup ont une pratique artisanale, se livrant à divers travaux (réalisation de litres funéraires, dorure, vitrerie, restauration…) confirmés par les sources. Rares sont ceux qui pratiquent un art savant. Comme l’indique la circulation de quelques peintres ou de quelques modèles, la Basse-Normandie est ouverte sur les régions limitrophes de Haute-Normandie, Bretagne ou Maine. Quant aux peintres les plus renommés, ils sont le plus souvent extérieurs à la région, provenant des grands ateliers parisiens ou de l’Académie de Saint-Luc, appelés par des commanditaires fortunés, bien introduits dans la capitale (Suvée appelé par l’évêque de Sées) ou inscrits dans un réseau artistique (cas des différentes maisons d’un ordre religieux).
IV. Du carnet de croquis à la toile
Le processus de création d’une œuvre L’inventaire a révélé peu d’œuvres préparatoires conservées, mais leur rapprochement permet d'éclairer le processus de création d’un tableau (carnet de croquis de Jacques Noury, dessin de Suvée pour le Baptême du Christ de l’évêché de Sées, études de Guillaume Fouace pour Montfarville…). Quant aux sources d’archives (testaments, contrats ...), elles nous fournissent des détails sur le matériel du peintre, les pigments utilisés… qu’il est possible d’évoquer en recréant une ambiance d’atelier.
V. La copie
L’étude a mis en lumière la part majoritaire de la copie dans la production picturale en Basse-Normandie, aux XVIIe et XVIIIe siècles certes, mais encore au XIXe siècle. Même les peintres locaux les mieux formés n’ont pas échappé à cette pratique d’une peinture où la force de l’image et du message prime sur l’originalité. Autour d’une œuvre particulièrement copiée dans la région, la présence de quelques copies et du modèle gravé permettra de comprendre l’appropriation d’un art savant par des artistes locaux, le processus de simplification, d’adaptation, voire de création quand le peintre, mêlant plusieurs modèles gravés, se fait à son tour inventeur. Le parcours doit également mettre en valeur la place de la gravure dans la circulation et la réussite de certains modèles, gravures qui étaient disponibles auprès de marchands ambulants ou dans les livres liturgiques comme les missels (présence d’un missel en regard d’une représentation de la Toussaint copiée d’après une des scènes présentes dans l’ouvrage).
VI. Les découvertes
Révélés lors des enquêtes de terrain et conservant parfois une part de mystère sur les conditions de leur arrivée dans l’église, ces tableaux ont, eu égard à leur qualité artistique, fait l’objet de protections au titre des "Monument historiques" puis de restaurations exemplaires (Serpent d’airain attribué à Luca Giordano dans l’Orne, Vierge à l’Enfant attribuée à Vignon dans la Manche, Vierge de l’Apocalypse attribuée à Francesco Cairo dans le Calvados).
Entre oeuvres d'art et images pieuses, Regards sur les peintures des églises de Normandie, au 17e siècle.
Conférence par Guillaume Kazerouni, responsable des collections anciennes, peintures et dessins, Musée des Beaux-Arts de Rennes.
L’étude progressive des oeuvres conservées dans les églises de France enrichit de façon notable depuis plusieurs décennies notre vision de la peinture française du XVIIe siècle. Les inventaires, les restaurations et enfin les expositions rendent accessible et de nouveau visible un patrimoine d’une très grande richesse qui demeure encore bien peu connu et qui complète les collections conservées dans les musées. L’étude de la production d’images sacrées dans les foyers régionaux bénéficie grandement de cette dynamique. La conférence de Guillaume Kazerouni propose, à partir des oeuvres du XVIIe siècle de l’exposition “Beauté divine !”, de replacer dans un panorama plus large la production picturale du XVIIe siècle aujourd’hui présente dans les églises de Normandie. Nous verrons ainsi en quoi ces peintures, comparées à celles conservées dans d’autres régions de France, révèlent un foyer particulièrement original, actif et prestigieux. Nous verrons également quelle est la part en Normandie entre l’intervention des artistes parisiens et leur influence. A l’inverse, il sera également question des commandes obtenues à Paris par des peintres normands. Ce panorama sera également l’occasion de faire le point sur les découvertes les plus importantes faites dans les églises de Normandie durant ces 30 dernières années dans le domaine de la peinture française du XVIIe siècle.
Historien d’art spécialisé dans la peinture et le dessin français du XVIIe siècle, Guillaume Kazerouni est responsable des collections anciennes du musée des Beaux-Arts de Rennes (peintures et dessins) depuis 2013. Il a auparavant enseigné l’histoire de l’art à la Manufacture des Gobelins, à l’Institut catholique et à l’École du Louvre en région.
L'exposition permet des découvertes car l'histoire de l'art français du XVIIe qui s'est constituée au début du XXe s'est faite à partir des œuvres des musées
1/ Que reste-t-il dans les églises (le cas de Paris) ?
1-1 les choix de la révolution
1-2 Du retable au musée
1-3 Retour à l'église
2/ Normandie-Paris, circulation des artistes et des œuvres
2-1 les artistes normands à Paris
2-2 Des œuvres parisiennes en Normandie
2-3 rayonnement du foyer parisien : les copies
Conclusion : l'histoire de l'art des musées
1-1 les choix de la révolution
10 000 tableaux dans 300 édifices sont possiblement à transférer. Le goût de la fin du XVIIIe prédomine. On décide de tout garder de Nicolas Poussin même le plus bizarre ainsi saint Denis l'Aréopagite couronné par un ange, transféré de l'église Saint-Germain-L'auxerrois à Paris. Affecté au musée de Rouen en 1803 ou La Mort de la Vierge (1623). Issu d'un retable commandé par l'archevêque de Paris Jean-François de Gondi pour la cathédrale Notre-Dame, saisi à la Révolution et déposé au Louvre, envoyé à Bruxelles en 1803, considéré comme une copie, et disparu en 1814. Retrouvé en 2000 à l'église de Sterrebeek. Ces deux tableaux de jeunesse et donc pas assez classiques ne peuvent rester au Louvre et sont envoyés en dépôt en province
On garde aussi les tableaux rendus célèbres par les guides ainsi La Sainte Cène 1618 de Frans Pourbus car Nicolas Poussin avait déclaré qu'il s'agissait du tableau qu'il admirait le plus. C'est aussi le cas de Le Sueur, surnommé le Raphaël français, dont Louis XV et louis XVI achètent des tableaux d'église.
1-2 Du retable au musée
Le triptyque du Noviciat des Jésuites de Paris est démembré : au centre Le miracle de saint François-Xavier de Poussin est conservé au Louvre ce qui n'est pas le cas de la Vierge retrouvant Jésus au Temple de de Jacques Stella, vendue et retrouvée dans une église dans la collégiale Notre-Dame des Andelys, et d'un tableau de Simon Vouet.
Les tableaux conservés au Louvre doivent en effet servir à l'édification de l'école française et des artistes qui y suivent ses enseignements : le Sueur, la Hyre Champagne et Le Brun, tous les artistes de l'Académie sont sélectionnés car ils ont servi de modele d'études aux artistes du XVIIIe
Les noces de Cana de Quentin Varrin 1618. Église St Gervais d'abord attribué à Jean Cousin flotte dans l'air. Rennes souhaite regrouper les retables dans une galerie en forme de nef, exposés sur des socles de un mètre français et étrangers
Champaigne Notre dame peignent à Paris rares commandes de province
1-3 Retour à l'église
on ne sait pas toujours d'où proviennent les tableaux qui sont réaffectés dans une église car leur iconographie est bizarre ou maniériste. Ainsi de l'adoration des bergers de Jérôme Francken église des cordeliers vers Notre-Dame ou Champaigne à Rouen
Pourbus Retable de la famille de Vic 1617 saint Nicolas des champs décor d'église
Quentin Varin déposition Châteaudun église St Valérien
Trop grands pour les musées les mays de quatre mètres de Jacques Blanchard à Notre-Dame
Nicolas des champs 1628 Simon Vouet. Adoration du nom divin Saint merri en noir avec saint Pierre à gauche reliques sous le tableau. Sujet trop bizarre pour un musée
pas toujours des œuvres d'art mais de simples images exécutées par des 5e ou 6e couteaux. Le martyre d'un pape d'Alexandre Durant (Paris, Notre-Dame-de-la-Croix de Ménilmontant,1620) est réalisé à partir de trois gravures extraites d'un recueil d'estampes. Distribués dans un cadre serré, les différents personnages, dénudés, reprennent par leurs poses les grands modèles de la sculpture de l'Antiquité et de la Renaissance : le Gladiateur Borghèse (Louvre), le Rémouleur antique accroupi, mais aussi l'Esclave mourant de Michel-Ange qui peut aussi être vu comme une transposition à la verticale de la célèbre Ariane endormie mise debout et transformée en vieux monsieur. les poses sont sophistiquées mais le tableau est sans rythme.
Dans la première partie du XVIIe, des chefs d'écoles régionales sont renommés :Horace le Blanc à Lyon, Jean Boucher à Bourges, Louis Finson en Provence (Aix ou Arles), Guy François en Auvergne, Georges Lallemand, Pentecôte Rouen église saint Ouen, Jean Daret, Isaac Moellin à Rouen ou Claude François dit frère Luc (1614-1685) netteté du sujet, le style passe après la clarté corpus de 120 tableaux. Trinité de Le Brun saint Nicolas du Chardonnet, Versailles. Saint Paul et saint Louis cardinal Fesch Lyon dépôt à Paris
2-1 les artistes normands à Paris
Situation différente dans la 1er moitié du XVIIe où l'académie n'existe pas et la seconde moitié où les écoles en région meurent car il faut s'établir à Paris chez un maitre pour obtenir des commandes
Durant la
première moitié du XVIIe, Poussin est à Rome. La demande est plus forte que l'offre. Viennent à Paris Rubens ou du caravagiste Orazio Gentileschi. Les artistes normands peuvent encore rester chez eux pour aller peindre à Paris
Normandie-Picardie Varin
Lyon Thomas Blandit (?) en Lorraine Bellange ou callot
Les Andelys assomption de la vierge 160x100 Quentin Varin Eglise des grands Andelys 1er maitre de Poussin assainissement du maniérisme images plus nettes personnages importants tous au premier plan. Monumental hybride humanité des personnages saints
Le martyre de saint Vincent 250x190 de saint clair
Jean de saint Igny, Assomption 1636 Fécamp adoration des bergers en grisaille ou à Rouen des petits formats pour les chapelles
Oratoire de saint Gervais, saint Protais et ses lambris peints
La chapelle de la vierge de saint germain des prés 1632 avec Le nain quatre sur vingt sont conservés au musée Carnavalet. Dans le domaine privé seulement au pavillon de l'Arsenal
2-2 Les Parisiens en Normandie
Par l'intermédiaire des communautés religieuses
Horace le Blanc, Claude Vignon, la vierge à l'enfant vers 1640 dans la cathédrale Notre-Dame de Coutances. Montrer le tableau au public seulement dans les églises car avant la création des salons, signer le tableau, c'est laisser sa carte de visite. Vignon signe ainsi dans les années 20-30 puis cesse quand il est suffisamment connu.
Laurent de la Hyre
1641 Adoration des bergers Valognes, notre dame de la protection ; élève de Georges Lallemand qui lui fait obtenir des May de notre dame. capucin des marcis (?) Descente de la croix de Rouen couvent des capucins
Champaigne, musée d'Alençon assomption
Eglise de Balleroy, postérité d'Abraham anonyme
2- 3 les copies
Inspiration, interprétation et transformation ou reprise intégrale
L'annonciation anonyme de 1660 de l'église saint jean de Caen avec son maniérisme tardif pourrait être de Quentin Varin cernes sous les yeux
Cornes de Tour 1620 Bonne mort de cathédrale Notre-Dame de Bayeux
Poussin, le Brun, Dieu le père
Louis Licheri, saint Louis guérissant de la peste expressionnisme
Jouvenet/ le Brun, Alexandre sous la tente de Darius
Nicolas la champagne Le feye
St Maria Rouen Eglise St Vivien
Rubens descente de croix Anvers gravure inversée, donc peinture d'après gravure dans le sens inverse, les copistes changent les couleurs
Simon Vouet Alençon basilique de Notre dame, présentation au temple Saint Louis des jésuites 1640 mais même sens que Vouet
La Hyre l'assomption du Louvre 1723-47, 1778
Abraham van Diepenbeek de Valençay à découvrir
Quentin Varin chapelle sainte Cécile, chapelle de la famille Vic
Artistes inconnus Le Tellier, présentation au temple, jean 1er Restout fils de Marc-Antoine Restout, La naissance de la vierge
Zurbaran Saint Antoine de Padoue d'Etreham
Francisco Cairo, église saint Pierre, ou Luca Giordano Gillis bechenel (?) Christ au jardin des Oliviers de Honfleur
Jacob Jordaens
Pierre-Jacques Cazes,
Saint Hugues d'Avalon (ou de Lincoln) avec son cygne, élément d'un retable provenant de l'église de la chartreuse de Saint-Honoré à Thuison, près d'Abbeville, vers 1490-1500.