Editeur
: Carlotta Films. Novembre 2016. 20 €
Suppléments :
- UN CHARMANT PETIT MONSTRE (13 mn) Denis Westhoff revient sur la genèse du best-seller écrit par sa mère, sur les rapports entre Françoise Sagan et le personnage de Cécile, et sur son adaptation au cinéma par Otto Preminger.
- A UNIQUE COLLABORATION : JAN-CHRISTOPHER HORAK À PROPOS DE SAUL BASS ET OTTO PREMINGER (21 mn) Auteur de Saul Bass: Anatomy of Film Design, Jan-Christopher Horak évoque la fructueuse collaboration entre le réalisateur Otto Preminger et le célèbre graphiste américain Saul Bass.
- ARCHIVES
- SÉLECTION DE VEDETTES POUR "BONJOUR TRISTESSE" (1 mn - Muet) "JT 20h" du 26/07/1956 © 1956 – Ina Otto Preminger passe en revue des jeunes femmes pour les rôles féminins principaux.
- SUR LE TOURNAGE DE "BONJOUR TRISTESSE" (1 mn - Muet) "JT 20h" du 01/08/1957 © 1957 – Ina Extrait d'une journée de tournage à Paris avec Otto Preminger et Jean Seberg.
- "CINÉPANORAMA" : ÉMISSION DU 26 SEPTEMBRE 1957 (5 mn) Réalisateurs : Jean Kerchbron et Frédéric Rossif - Auteur : François Chalais © 1957 – InaOtto Preminger raconte sa découverte de Jean Seberg et comment il a acquis les droits du roman de Françoise Sagan.
- "CINÉMA" : ÉMISSION DU 22 JANVIER 1966 (30 mn) Réalisateur : François Chalais © 1966 - Ina François Chalais interviewe Jean Seberg, de retour à Hollywood dix ans après le début de sa carrière d'actrice.
- BANDE-ANNONCE
Depuis son retour à Paris après des grandes vacances passées sur la Côte d’Azur, Cécile a perdu sa joie de vivre et son entrain habituels. Cet été-là, Cécile était heureuse, entourée de Raymond, ce père coureur de jupons mais si affectueux, d’Elsa, sa « belle-mère » du moment, et de Philippe, le séduisant voisin. Mais l’arrivée surprise d’Anne, une ancienne amie de la famille, va bouleverser la quiétude de la maisonnée…
Quatre ans après l’énorme succès du livre de Françoise Sagan, le réalisateur Otto Preminger (Laura) décide d’adapter Bonjour tristesse. Avec son casting prestigieux (Deborah Kerr, David Niven et Jean Seberg), cette évocation mélancolique du paradis perdu de la jeunesse annonce autant les portraits acerbes de la bourgeoisie antonionienne que le modernisme formel d’un Jean-Luc Godard. Une adaptation devenue aussi culte que le roman originel, à admirer dans sa sublime restauration 4K !