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Juin 1982. Un tank
"Patton" est affecté à une petite unité de
jeunes soldats israéliens au sol, et sans aucune expérience
du combat. Leur première mission est de pénétrer dans
un village libanais que l'aviation israélienne a déjà
bombardé, et de le "nettoyer" d'éventuels terroristes
palestiniens. Une mission qui devrait être "rapide et simple".
Mais la mission devient un véritable cauchemar, où sans raison,
soldats, terroristes et civils vont s'entretuer.
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Comme Valse
avec Bachir et Beaufort, Lebanon
retrace des evenements survenus au cours de la guerre du Liban de 1982 à
partir des souvenirs personnels du réalisateur.
Ici pourtant nul mise en scène de l'effort de mémoire ou d'interrogation politique. Plus grave encore, la place plus grande accordée au peuple palestinien à l'écran est utlisée avec une sorte de pornographie de l'horreur (La palestinniène hagarde et nue à laquelle on tend une couverture).
Un film ou la seule conscience est mauvaise à défaut d'être politique.
