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Depuis son laboratoire
dissimulé dans l’œil du Sphinx, le Magicien d’Afrique complote pour retrouver
la lampe merveilleuse qui garantit un pouvoir absolu à quiconque la possède.
Le Génie des Ténèbres l’informe que la lampe est cachée dans un pays lointain
et que seule une main innocente d’enfant peut s’emparer du trésor.
Avec l’aide de son tapis volant, le Magicien voyage jusqu’à une ville remplie de minarets et de jardins merveilleux, où règne un sultan. Il y rencontre Aladin, un garçon pauvre qui vit seul avec sa mère. Se faisant passer pour l’oncle d’Aladin, le Magicien amadoue l’enfant pour servir ses desseins et l’entraîne dans sa quête de la lampe merveilleuse.
Aladin plsu malin que le magicien parvient à garder la lampe. Il retrourene cehz sa mère et s'enfuit dans la ville du Sultan. jeune homme il y tombe amoureux de la princesse. Alac le geneide la almpe il doffre bijoux et palais à son père et obient sa main. Hélas le magicien a retrouvé s atarce et aidé du garnd Vizir, il enleve la prinecsse. Aladin demande cinq jours pour al retrouevr
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Fraicheur,
simplicité et joliesse du dessin redonnent au conte son pouvoir d'évocation
du merveilleux. Les idées s'incarnent souvent de façon bien
plus forte que dans les versions modernes où la surenchère d'effets
spéciaux nuit à l'émotion. Ici le passage de l'Egypte
à l'Orient se fait dans la substitution d'un chameau remplacé
par un tapis ; ici la déclaration d'amour prend la forme d'un gros
plan de rose rouge qui envahit l'écran.
Les chansons très suaves ou amausantes (Ah ce qu'on est bien quand on est dans son bain) et les volatiles accompagnants les personnages (un hibou pour le magicien, un perroquet pour Aladin), contribuent aussi au charme très fort de ce film.