Pooja est quittée sans ménagement par son époux Inder pour sa maîtresse Kavita. Pooja en a d’abord le cœur brisé avant de discerner le caractère illusoire des convenances sur lesquelles sa vie reposait.
Arth est moins le mélo attendu de la femme bafouée et agonisante, que les étapes d’une possible reconquête d’elle-même et l’émergence d’un point de vue féminin (l’épouse et la maîtresse) en quête d’émancipation. Revirement qui trahit subtilement la formule admise du cinéma populaire indien où il ne saurait y avoir de plus grand bonheur pour une femme que de vivre son mariage