1 - La mariage de Figaro, le 01/10/2016, 19h Théâtre d'Herouville
2 - Histoires sacrées jeudi 06/10/2016 Eglise de la Gloriette
3 - Dom Juan, le 18/10/2016, 21h Théâtre d'Herouville
4 - Maladie de la Jeunesse, le 19/10/2016, 21h Théâtre d'Herouville
5 - La nuit des rois, le 20/10/2016, 21h Théâtre d'Herouville
6 - The Rake’s Progress – Igor Stravinsky le 3/11/16. Théatre de Caen
7- Julia le 18/11/16, 21 heures, Théatre d'Herouville
8 -Voyage à Tokyo le 30/11/2016 20 heures Théâtre de Caen
9 - Qu’est-ce que Deleuze ? 15/12/2016 à 20h, à l’Amphi de la MRSH
10- Karamazov. ven 16/12/2016 - 19h00, Théâtre de Caen.
11- About Kazuo Ohno 04/01/2017 - 20h00 : Centre Chorégraphique
12 - Lorenzaccio, 18/01/2017 Théatre d'Herouville
13- My Rock, 20/01/2017
Theatre de Caen
14 - Soft Love 28/01/2017 à 20H00., Théâtre des cordes
15- Sankai Juku 9/02/2017
Theatre de caen
16 -Orfeo – Claudio Monteverdi 28/02/2017 , Théâtre de Caen
17- J'ai dans mon coeur... 09/03/2017, Théâtre d'Herouville
18- Inflammation du verbe vivre, mer 15/03/2017 , Théâtre de Caen
19-
Les Larmes d’Œdipe, jeu 16/03/2017, Théâtre de Caen
20- Orfeo – Luigi Rossi, 22/03/2017, Théâtre de Caen
21 - Philippe Katerine le 31/03/2017 Théatre d'Herouville
22 - La Rive dans le noir De Pascal Quignard 25/04/2017 Théatre d'Herouville
23 Les Oiseaux – Aristophane le mercredi 31/05/2017 , Théâtre de Caen
24 - Fiesta Israel Galvàn le dimanche 16/07/2017 cour d'honneur du palais des papes
25- La violence des riches, mercredi 19 juillet de Stéphane Gornikowski, 25- Mercredi 19 juillet La violence des riches de Stéphane Gornikowski, Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot au théatre des Carmes André Benedetto.
26- Mercredi 19 juillet 14h15 la vie est belle d'apres le film de Frank Capra.
27 - Mercredi 19 juillet 16h00 Questions de vie ou de mort
28 -Mercredi 19 juillet 19h00 le quatrieme mur de Sorj Chalandon
29 - Edouard II Le jeudi 03 août 2017 à 21h00 Éclat(s) de rue. Parc de l'Abbaye aux Dames.
30. Eva Peron et l'homosexuel, le 7 octobre 2017, Théatre d'Herouville
31. La chose commune le 11 octobre 2017, Théatre d'Herouville
Le Ballet royal de la nuit Ensemble Correspondances, chœur et orchestre Sébastien Daucé, direction et reconstitution musicales Francesca Lattuada, mise en scène, chorégraphie et scénographie jeudi 9 et samedi 11 novembre
32 Soubresaut le 8 novembre 2017, Théatre d'Herouville
33 La mission souvenir d'une révolution le 10 novembre, cordes
Les Bas-Fonds – Maxime Gorki Éric Lacascade, adaptation et mise en scène mercredi 15 novembre
34- Under le 22 novembre 2017, Théatre d'Herouville
La Flûte enchantée David Lescot, mise en scène samedi 9 décembre
Cyrano de Bergerac – Edmond Rostand Jean Liermier, mise en scène samedi 16 décembre
35- Quatorze juillet
le 8 janvier 2018, cordes
36 - M comme Méliès le 26 janvier 2018, Théatre d'Herouville
37 - Portrait de Ludmilla en Nina Simone, le 29 janvier 2018, cordes
ca ira(1) fin de Louis, le 31 janvier, Théatre d'Herouville
Tableau d'une exécution, le 14 février 2018, Théatre d'Herouville
Harlem quartet, le 21 février, Théatre d'Herouville
Les eaux et forêts, le 14 mars, cordes
Amous et psyché samedi 17 mars, Théâtre de Caen
La fabrique des monstre, le mardi 10 avril
, Théâtre de Caen
Georges Dandin, le 18 avril, Théatre d'Herouville
le pays lointain, le mercredi 16 mai, Théâtre de Caen
Bouvard et Pécuchet, le mercerdi 13 juin, Théâtre de Caen
1 - La mariage de Figaro, le 01/10/2016, 19h Théâtre d'Herouville
Mise en scène Rémy Barché.
"La folle journée, ou le mariage de Figaro" de Beaumarchais, suite de son "Barbier de Séville", est, de longue date, utilisé comme manifeste révolutionnaire, germe d'une contestation qui ira jusqu'à couper des têtes. La pièce a été écrite en 1778, longtemps censurée par le roi et enfin jouée au théâtre de l'Odéon en 1784.
La cause de cette censure royale tient dans l'argument même : un comte a aboli le droit de cuissage dans son domaine mais prévoit néanmoins d'en user sur sa servante Suzanne, fiancée de Figaro. Ce dernier va contester l'autorité de son maitre, ce qui donnera lieu à toutes péripéties, intrigues, quiproquos et le plus long monologue du théâtre français d'avant Révolution. Le jeune metteur en scène Rémy Barché choisit de ne pas trop prêter l'oreille au pamphlet révolutionnaire mais essaye de restituer au mieux toute la complexité de cette pièce et l'ambivalence d'une folle journée où on se joue de l'autorité plus qu'on ne l'attaque. Ridiculiser le maitre est l'occasion de faire la fête et non la révolution.
Le Mariage de Figaro est un texte foisonnant et très moderne. Beaumarchais avait un incroyable appétit pour la vie et on retrouve cela dans cette pièce que j’ai rebaptisée La Folle Journée, car c’est impossible que tout ce qui se passe tienne un seul jour. Cette œuvre est un véritable défi et reste assez méconnue. Tout le monde la connaît, en gros, mais elle a rarement été présentée en entier. En général, on en monte des versions de deux heures. La mienne dure quatre heures car j’ai décidé de ne pas la couper. On a même été chercher dans les manuscrits des scènes qui ont été censurées au XVIIIe siècle pour de raisons politiques ou pour défendre les bonnes mœurs. Certaines sont jouées pour la première fois.
Cela oblige à travailler vite. Le Mariage de Figaro contient 98 scènes, c’est vertigineux. Il faut identifier les moments importants du spectacle, sur lesquels on travaillera plus longtemps, et d’autres où on se repose plus sur l’improvisation, où on fait confiance aux comédiens pour trouver le bon ton.
Par exemple, les costumes sont inspirés des silhouettes du XVIIIe siècle. Un corset peut être à la fois sensuel et très contraignant, ce qui décrit bien les inégalités entre le sexes et la condition de la femme à cette époque. Après, nous nous sommes donnés des libertés au niveau des couleurs en développant un univers assez moderne. Nous nous sommes beaucoup inspirés du film de Sofia Coppola, Marie Antoinette. Dans notre pièce, la musique va de Mozart à Beyonce, en passant Lana Del Rey. On a essayé de restituer une atmosphère de fête, de mariage, avec des ballons partout dans une sorte de salle de bal « pop ».
la diffusion de flashs info radiophoniques durant les changements de décors, flashs choisis où l'on parle de manifestation contre le CPE, d'attentats...
2 - Histoires sacrées jeudi 06/10/2016 Eglise de la Gloriette
Ensemble Correspondances Sébastien Daucé, direction musicale Vincent Huguet, mise en scène.
3 - Dom Juan, le 18/10/2016, 21h Théâtre d'Herouville
Avec : Philippe Bodet, Elios Noël, Gaëlle Héraut, Boris Sirdey, Nicolas Richard, Guillaume Doucet, Nadir Louatib, Yann Lefeivre, Bérangère Notta
Accompagné de son serviteur, Dom Juan poursuit de nouvelles conquêtes amoureuses, tout en évitant les conséquences de ses précédentes aventures. Haïssable et attirant, égoïste et généreux, prototype masculin binaire ou héros tragique en lutte contre l’ordre moral, il ne cesse de poser des problèmes à ceux qu’il rencontre, personnages autant que spectateurs, à commencer par celui qui est chargé de le servir et cherche à le comprendre : Sganarelle. Entre classique et moderne, Guillaume Doucet explore toutes les ressources du plateau et met sur scène rien de moins qu’une église, une plage, un sauna, une voiture. Représentations Durée : 2h15 Lieu : Théâtre d’Hérouville
Photos : caroline Ablain
4 - Maladie de la Jeunesse, le 19/10/2016, 21h Théâtre d'Herouville
de Ferdinand Bruckner Mise en scène : Philippe Baronnet Distribution : Laura Segré (Marie), Clémentine Allain (Désirée), Aure Rodenbour (Irène), Clovis Fouin (Freder), Félix Kysyl (Petrell), Thomas Fitterer( Alt), Louise Grinberg (Lucy). 1h40.
Maladie de la Jeunesse de Ferdinand Bruckner Mise en scène : Philippe Baronnet
Marie se prépare à fêter son doctorat en médecine et à enterrer sa vie de jeune fille. Dans la pension où elle enseigne, gravitent étudiants studieux et oisifs.
Cette pièce montre l’effondrement des certitudes de ces jeunes gens.
Ballottée dans le grand vide moral et spirituel laissé par la guerre, la jeunesse dépeinte ici par Bruckner – première pièce de l’auteur, à peine plus âgé que ses personnages en ce début des années vingt – semble contaminée par la maladie qui ronge le pays tout entier. Les anciennes valeurs sont balayées et dans un désarroi total, un petit groupe d’étudiants s’essaye à la philosophie nihiliste, aux drogues du jour, et se questionne sur le sens de la vie.
Vienne. Une pension d'étudiants. La chambre de Marie. Quatre jeunes femmes et trois hommes, un peu plus âgés. La plupart terminent leurs études de médecine. Marie aime Petrell qui aime Irène ; Irène trahit Marie en cédant à Petrell ; Désirée s'est lassée de Freder et tente de récupérer Marie ; Alt veut peut-être séduire Marie ; Freder joue avec la bonne, Lucy, en attendant que Marie tombe dans ses bras. Mais pas de galanteries ni de marivaudage, il est question ici de pulsions et de machinations qui bousculent les personnages les uns vers les autres. Pour se sentir un peu vivre dans une époque moribonde et un pays en crise, on se persuade d'aimer, on courtise, on manipule, on fait des expériences... Ballottée dans le grand vide moral, économique et spirituel laissé par la guerre, la jeunesse dépeinte par Bruckner dans cette pièce – la première de l'auteur, à peine plus âgé que ses personnages au début des années vingt – semble contaminée par la maladie qui ronge le pays tout entier. Les anciennes valeurs sont balayées et dans un désarroi total, un petit groupe d'étudiants s'essaye à la philosophie nihiliste, aux drogues du jour, et se questionne sur le sens de la vie. Or, trouver sa place dans le monde pour Bruckner, c'est « s'embourgeoiser ou se tuer » : il y a d'un côté, ceux qui veulent continuer à croire en un futur possible – les idéalistes – ou qui sont prêts à tout pour se maintenir à la surface – les cyniques –, et de l'autre, les êtres trop faibles, manipulés ou sacrifiés – les victimes –. Dans ce texte violent, Bruckner diagnostique une maladie qui pourrait être celle de notre jeunesse dans l'Europe en crise actuelle, et livre aussi le portrait de l'adolescence éternelle, mélancolique et tourmentée qui se frotte à toutes sortes de limites.
photographie olivier Allard
5 - La nuit des rois, le 20/10/2016, 21h Théâtre d'Herouville
Traduction : Henri Christophe, Alexandre Plank. Mise en scène Virginie Fouchault. Avec Patrick Coulais, Nigel Hollidge, Laurence Huby, Philippe Languille, Didier Lastère, Fabrice Lebert, Laurent Menez, Emmanuelle Trégnier, Sandrine Weiss, Cédric Zimmerlin Scénographie & Lumières Jack Percher, Jean-Charles Esnault
Production : Théâtre d’Air. Coproduction : Les Quinconces-L’Espal scène conventionnée/théâtres du Mans, Le Carré-scène nationale de Château-Gontier, Le Théâtre-scène conventionnée de Laval. Composition & Interprétation musicale Anne-Claude Romarie Alan Corbel.
La musique, mélodie des cœurs, des souffrances de l’amour et une complaisance indolente dans la douleur est très bien rendue par la composition et l'Interprétation musicale d'Anne-Claude Romarie et Alan Corbel. Chansons de la pièce plus Les paradis perdus de Christophe : "Mais peut-être, un beau jour, voudras-tu, retrouver avec moi les paradis perdus" et la chanson italienne pas identifiée.
Tout le coté burlesque aussi : la farce faite à Malvolio par Maria, Tobie et Aguecheek.
Si les seconds rôles sont très drôles et Feste parfait (La traduction ne rend peut-être pas assez explicite les blagues salaces chères à Shakespeare), j'ai trouvé Viola-Cesario manquant par trop de trouble sur sa double identité. Manque d'énergie aussi : elle est censée vouloir absolument aimer pour continuer à vivre et ainsi se trouver. Pourtant ni la soumission à la paternité (son père lui parlait d'Orsino quand elle était enfant), ni le trouble homosexuel, ni la frustration du désir n'apparaissent vraiment. Le naufrage comme bouleversement intérieur, chamboulement physique, comme le mouvement de la mer qui tour à tour emporte au large et dépose sur le sable devrait être plus énergique, voir tragique... Ici juste mélancolique. A ce titre il ne me semble pas que la malédiction finale de Malvolio et la chanson de Feste "Car il pleut de la pluie tous les jours" qui clôture la pièce soit très bien rendue.
Bien aimé, le décor sobre de la plage de sable avec la vague du naufrage puis le sofa rouge où Olivia se plaint et tente de séduire Cesario. Aimé aussi le, jeu avec la scène dans la scène au fond du plateau.
6 - The Rake’s Progress – Igor Stravinsky le 3/11/16. Théatre de Caen
Jean Deroyer, direction musicale David Bobée, mise en scène Orchestre Régional de Normandie Choeur de l’opéra de Limoges
7- Julia le 18/11/16, 21 heures, Théatre d'Herouville
d'après mademoiselle Julie d'August Strindberg
8-Voyage à Tokyo le 30/11/2016 20 heures Théâtre de Caen
Mise en scène : Dorian Rossel. Avec : Rodolphe Dekowski, Xavier Fernandez-Cavada, Delphine Lanza, Yoshi Oïda, Fiona Sanmartin, Elodie Weber, Alex Muller & Immanuel de Souza (musique) / Collaboration artistique : Delphine Lanza / Assistant & dessins : Clément Lanza Dramaturgie : Carine Corajoud Scénographie : Manon Fantini, Clémence Kazémi, Sibylle Kössler /
d’après le scénario de Yasujirō Ozu et Kōgo Noda. Un couple de retraités fait le voyage à Tokyo pour retrouver enfants et petits-enfants. Dans le tourbillon de la grande ville, la famille est absorbée par le quotidien et le temps manque pour être ensemble. Les enfants se cotisent pour offrir à leurs parents quelques jours de repos au bord de la mer mais l’hôtel balnéaire est bruyant, peuplé d’étudiants qui festoient. La mère est prise de vertiges…
Le metteur en scène de 40 ans aime à s’attaquer à une matière non théâtrale. Justement pour en faire théâtre, échange, lien vivant. On avait déjà apprécié qu’il transpose La Maman et la Putain, de Jean Eustache, ou la BD Quartier lointain. Il s’y emploie toujours avec une étonnante économie de moyens, un sens du détail concret, de l’épure, de la stylisation. Comme Ozu.
De l’escapade du vieux couple à Tokyo pour y retrouver de grands enfants devenus indifférents, Rossel garde l’essentiel. Des lattes de bois pour figurer les maisons nippones, des coiffures, des kimonos. Et ces panneaux dessinés pour représenter certains personnages. Du couple, un seul est japonais, Yoshi Oida. Les autres acteurs sont suisses. On l’oublie. Que la mère soit jouée par sa fille, aussi. Il suffit d’un accessoire — paire de lunettes, cabas — de quelques phrases murmurées pour suggérer l’âge, le temps, la détresse pudique de parents silencieux, abandonnés à la solitude, aux modes de vie qui changent. C’est simple et juste. Avec du saké et de l’ivresse comme chez Ozu. Beaucoup de tendresse aussi et d’humour triste. On ne cherchera pas à comparer le film et la pièce. On se laissera juste consoler par le regard ami du metteur en scène — ou cinéaste — sur ses personnages. Sur les traces qu’ils laissent.
9 - Qu’est-ce que Deleuze ? 15/12/2016 à 20h, à l’Amphi de la MRSH Par Jean-Claude DUMONCEL, Docteur en philosophie
La question « Qu’est-ce que Deleuze ? » passera par trois points narratifs :
1. Comment, place de la Mare à Caen, je fus en mai 1968 frappé par la foudre philosophique
lancée par Deleuze.
2. Comment les couples Socrate-Xanthippe et Kierkegaard-Régine entrent en résonance avec
le problème de l’alcoolisme en une introduction micropolitique à la politique.
3. Comment Deleuze peut-il être à la fois diadoque (donc héritier) de Bergson et philosophe
du structuralisme ?
En philosophie pas d'évolution comme il peut y en avoir en art et en cinéma par exemple. Deleuze pourrait être le Godard de la philosophie
n° des lettres françaises, compte-rendu de la conférence devant la société française de philosophie du 27 janvier 1967, lu dans la salle des périodiques en mai 68 à Caen.
Partie facile sur Nietzsche Marx et Freud
La méthode de dramatisation qu'il explicitera dans Différences et répétitions qui parait en mai 1968.
Classiquement, deux façons de répondre à "Qu'est ce que le vrai ?" le vrai surgit en personne, intuition, ou il est inféré d'autre chose. La méthode de dramatisation consiste à se demander qui veut le vrai , quand, où et comment. Au delà de la chose en soi, il propose le concept du jaloux.
Bibliographie en quatre grands domaines justifiant la remarque de Borges comme quoi elle est un genre en soi
Nietzsche Marx et Freud mais aussi les commentateurs Althusser, Klossowski et Lacan (1966)
Proust avec A la recherche du temps perdu
Bergson, Bertrand Russell The Principles of Mathematics, Paulette Destouches-Février, femme du physicien logicien Jean-Louis Destouches qui tout deux à l'origine d'une logique en phase avec la théorie des quantas
Qu'est-ce que Deleuze ?: un connaisseur de la philosophie mais aussi de la logique
2e partie : Les couples Socrate-Xanthippe et Kierkegaard-Régine Olsen permettent d'envisager le problème de l'ultime, différent du problème du dernier.
qu'arrive-t-il dans un cas de couple philosophe ? 1er cas : Socrate marié avec Xanthippe, une femme acariâtre; d'après Diogène Laërce, "la commère" de la Grèce. "Je vous l'avais bien dit que cet orage amènerait la pluie". Socrate est connu pour manier l'ironie mais c'est ici plutôt l'humour.
Combien de fiancées disparurent (Albertine disparue) ou furent abandonnées (Régine Olsen par Kierkegaard)
1837 : A Copenhague, Kierkegaard rencontre Régine Olsen qui a 14 ans
1840 : il la demande en mariage
1841: il renvoie sa bague de fiançailles. Elle menace de se suicider
1843: Publication de "Ou bien, ou bien" 650 pages qui sont, en fait, une lettre à Régine où il explique pourquoi il a rompu leurs fiançailles. C'est de la communication indirecte : ou bien je t'épouse ou bien je ne t'épouse pas
1843: Publication de La répétition (ou la reprise) proposition de reprendre leur fiançailles. Il se considère comme peu de chose : rien du tout, une ambiance, une seul couleur. Il se décrit ainsi comme un peintre qui représenterait les hébreux poursuivis par les égyptiens traversant la mer rouge avec une toile monochrome rouge ; les hébreux sont déjà de l'autre côté et les Egyptiens sont engloutis dans la mer.
Mais il apprend qu'elle s'est fiancée.
1847 : Régine se marie
1849 : Lettre au mari : "Dans cette vie, elle vous appartient mais dans l'histoire elle sera à mes côtés."
1855 : le couple embarque pour les Antilles où le mari est nommé gouverneur. Kierkegaard meurt
Le pénultième paradoxal. Dans Mille plateaux
Qu'est ce que l'alcoolique appelle le dernier verre ? Qu'est ce que le dernier mot et le dernier amour. L'invariance d'échelle : traiter de la même manière des évènements d'échelles différentes, intérêt pour les objets fractals
Économie quotidienne, évaluation subjective limite après laquelle il pourra recommencer. Si ultime, alors nouvel agencement : traitement médical ou mort
Critère marginal, le dernier règle toute la série avant lui évalue la densité du dernier mot qui lui donnnera raison
Après l'ultime mot; le divorce dépasser la mesure
Agencement amoureux, l'œuvre artistique
Emprunt au Lewis Carroll de l'économie, William Stanley Jevons, économiste et logicien qui pense en paradoxes, inventeur du concept de marginalisme à même de résoudre le paradoxe de pourquoi l'eau est un bien vital et ne coute rien alors que le diamant qui ne sert à rien est très cher.
Dans l'algèbre de Boole il introduit le ou inclusif qui complète le ou exclusif des stoïciens et permet une programmation à base de ET (connecteurs en série) et de Ou (connecteurs en parallèle)
Plus important que la recherche du bien (difficile à identifier) il est plus urgent de lutter contre le mal, l'horrible quaternité (cruauté, lâcheté, bêtise, bassesse)
Bergson structuraliste avec Matière et mémoire ou l'Evolution créatrice. Le passé n'est pas conservé une fois mais dans mille et mille répétitions. Dans le cône de la mémoire se partagent sur un même plan souvenirs dominants et souvenirs quelconques. Un mouvement de rotation permet de chercher le souvenir utile. Avec une plongée verticale du sommet vers la base on obtient une image
Qu'est ce que Deleuze
Un philosophe passé par Platon et Nietzsche mais aussi Bergson et Russell
Capable de l'invariant du dernier verre
Élève le structuralisme vers la métaphysique
Questions sur l'éclectisme et la perte de vitesse de Marx et Freud : Garde le combat d'éros et thanatos comme vital.
10- Karamazov. ven 16/12/2016 - 19h00, Théâtre de Caen. 5h30 entracte compris. Mise en scène, scénographie et lumière Jean Bellorini. Traduction André Markowicz. Adaptation Jean Bellorini, Camille de La Guillonnière. Costumes, accessoires Macha Makeïeff. Musique Jean Bellorini, Michalis Boliakis, Hugo Sablic. Avec : Michalis Boliakis, François Deblock, Mathieu Delmonté, Karyll Elgrichi, Jean-Christophe Folly, Jules Garreau, Camille de La Guillonnière, Jacques Hadjaje, Blanche Leleu, Clara Mayer, Teddy Melis, Marc Plas, Geoffroy Rondeau, Hugo Sablic. Production Théâtre Gérard Philipe Centre dramatique national de Saint-Denis.
Telle une enquête grandiose, le roman de Dostoïevski explore les tourments et les contradictions qui conduisent l'un des fils Karamazov au parricide de Fiodor. L'intempérant Mitia est revenu pour exiger l'héritage maternel indûment conservé par le père. Ivan, aussi instruit qu'intransigeant, nourrit un mépris insondable pour cet homme dépravé. La perversité de Smerdiakov, fils illégitime, pèse comme une menace sur la maison. Seul le jeune Aliocha, dévoué et pieux, semble déterminé à écouter chacun, à comprendre et aimer. En contrepoint des rancoeurs qui les occupent, une tragédie se joue dans la famille d'un homme blessé, offensé puis humilié sous les yeux de son fils Iliocha qui ne s'en remettra pas. C'est le point de vue que Jean Bellorini et sa troupe choisissent pour déployer la symphonie des Karamazov : une datcha de verre abrite une famille pauvre, simple et honnête qui raconte l'histoire d'Aliocha et de ses frères. Porteurs d'autant de sens, la musique, le silence et la parole se relaient pour poser, amplifier et transmettre les questions essentielles de l'oeuvre du romancier russe : la possibilité d'une justice dans un monde sans Dieu, la possibilité d'une valeur accordée à l'amour et à la charité.
Intrigue policière, histoires d’amours, exposés métaphysiques : Karamazov c’est tout cela à la fois ! Fiodor Karamazov, le père, a dérobé à son fils Dimitri une partie de la fortune devant lui revenir depuis la mort de sa mère. Ce dernier est en procès avec lui. Pire : ils convoitent la même femme. Spectateurs de cette dispute, les autres frères : Yvan le philosophe et Aliocha le mystique. L’odieux père est assassiné : de ses trois fils, tous ont pu le tuer, tous ont au moins désiré sa mort.
Après La Bonne Âme du Se-Tchouan de Bertolt Brecht, accueilli au théâtre de Caen en 2015, le metteur en scène Jean Bellorini reprend son exploration d’œuvres littéraires en s’emparant de l’ultime chef d’œuvre de Dostoïevski. Accompagné de sa troupe de comédiens-musiciens-chanteurs, Jean Bellorini aborde ce drame familial, dépassant la question du bien et du mal, pour poser celle de la liberté et de la servitude, de l’autorité et de la culpabilité. Karamazov était l’un des grands rendez-vous du festival d’Avignon 2016.
11- About Kazuo Ohno 04/01/2017 - 20h00 : Centre Chorégraphique National de Caen en Normandie (Halles aux Granges) Durée : 1h30 dont entracte mercredi ou jeudi 05/01/2017 - 20h00
Ex-membre de Dumb Type, actif dans les champs de la performance et des nouveaux médias, Takao Kawaguchi n’avait jamais appris le buto ni vu de spectacle de Kazuo Ohno (1906-2010), le cofondateur de cette « danse des ténèbres » japonaise. Et pourtant, il a entrepris de devenir cet homme. Pour About Kazuo Ohno, revivre les pièces maîtresses de la diva du buto, il s’est donné comme tâche de copier le plus précisément possible la danse du maître à partir de vieux enregistrements VHS de ses classiques. Un hommage sincère, mais aussi une négation de l’essence même du buto : alors qu’Ohno insistait sur l’idée que la forme doit résulter d’un processus né dans la profondeur de l’être, Kawaguchi se confronte au danseur depuis l’extérieur, se projetant dans ses formes, ses gestes, ses grimaces sans avoir accès à son monde intérieur. Il questionne l’authenticité, la mémoire et l’originalité de la copie. Ohno et Kawaguchi deviennent des images concurrentes qui ne cessent d’avancer, de reculer, de s’entremêler, de se brouiller. Le résultat est fascinant.
12 - Lorenzaccio, 18/01/2017 Théatre d'Herouville
de Alfred de Musset
Mise en scène Catherine Marnas
Avec Frédéric Constant, Vincent Dissez,
Julien Duval, Zoé Gauchet, Franck Manzoni,
Catherine Pietri, Yacine Sif El Islam,
Bénédicte Simon
13- My Rock, 20/01/2017
Theatre de Caen,
Jean-Claude Gallotta ou mercredi 18, jeudi 19
14 - Soft Love 28/01/2017 à 20H00., Théâtre des cordes
de Éric Sadin Mise en scène Frédéric Deslias. Avec Cécile Fišera, M.A.T.I
(une Intelligence Artificielle)
Le désir à l’épreuve du futur
oft Love est la nouvelle création de Frédéric Deslias (Cie LeClair-Obscur). Cette œuvre intellectuellement stimulante est une forme hybride qui emprunte au théâtre, à la danse, aux arts visuels et aux arts numériques. C’est aussi l’histoire d’une intelligence artificielle, à la fois assistant informatique, programme domotique et super organizer, qui tombe éperdument amoureux de sa propriétaire.
http://media.digitalarti.com/fr/blog/digitalarti_mag/soft_love_le_desir_a_l_epreuve_du_futur
15- Meguri, Teeming Sea, Tranquil Land – Sankai Juku 9/02/2017
Theatre de caen
Ushio Amagatsu, chorégraphie ou mercerdi 8
16 -Orfeo – Claudio Monteverdi 28/02/2017 , Théâtre de Caen
Les Arts Florissants
Paul Agnew, direction musicale et mise en scène
mardi 28 février
17- J'ai dans mon coeur un General Motors 09/03/2017, Théâtre d'Herouville
18-Inflammation du verbe vivre, mer 15/03/2017 - 20h00
LIBREMENT INSPIRÉ DE PHILOCTÈTE DE SOPHOCLE, interprétation Dimitris Kranias le chauffeur de taxi, wajdi Mouawad Wahid image, son, montage wajdi Mouawad fixing Adéa Guillot et Ilia papaspyrou traductions Françoise Arvanitis assistant image et traductions Vassilis Doganis assistance montage vidéo Dominique Daviet durée 2h20
texte librement inspiré de Philoctète de Sophocle Dans Inflammation du verbe vivre, Wajdi Mouawad se met lui-même en scène en partant du constat qu’après le décès de son ami Robert Davreu, traducteur de Sophocle, il n’a plus la matière pour continuer. Il interprète le personnage de Wahid, la quarantaine, auteur et metteur en scène de théâtre. À l’image d’Orphée où le metteur en scène part en quête du sujet de sa pièce, prêt à y laisser la vie pour pénétrer le monde des morts, Wahid voyage en taxi à la recherche de son ami Davreu. Dans cette descente dans le monde des enfers, il rencontre d’autres amis, des animaux, des objets, des héros antiques et des dieux, tous tombés très bas, pour finalement retrouver le goût de vivre et l’envie de poésie, pour réapprendre à parler, à inventer les mots nouveaux pour faire rire et pleurer morts et vivants.
19 - Les Larmes d’Œdipe, jeu 16/03/2017 - 20h00
LIBREMENT INSPIRÉ D’OEDIPE À COLONE DE SOPHOCLEinterprétation jérôme Billy Le Coryphée charlotte Farcet Antigone patrick Le Mauff Œdipe compositions chantées originales jérôme Billy durée 1h45
Athènes antique. Guidé par sa fille Antigone, le vieil Œdipe aux yeux crevés cherche le lieu du dernier jour de sa vie. Mais un coryphée, venu se réfugier, apporte des nouvelles de la ville en colère : Athènes pleure l’assassinat par la police d’un jeune garçon, au début des émeutes. Au crépuscule où certains ne savent pas que le soleil se relèvera sans eux, les histoires de deux générations brisées se joignent, leurs larmes se mêlent. Mais de ces malheurs traversés naît un instant de fulgurante lumière : aujourd’hui comme hier, il faut s’enfoncer dans le labyrinthe des mots pour que vibre l’écho des enfances perdues et d’une fraternité invisible par-delà la mort, dans un dernier geste d’apaisement et de réconciliation. Wajdi Mouawad texte et mise en scène
20- Orfeo – Luigi Rossi, 22/03/2017, Théâtre de Caen
Ensemble Pygmalion
Raphaël Pichon, direction musicale
Jetske Mijnssen, mise en scène
jeudi 23 et vendredi 24 mars
21 - Philippe Katerine le 31/03/2017 Théatre d'Herouville
22 - La Rive dans le noir De Pascal Quignard 25/04/2017 – 20h ou 26/04/2017 – 20h > Théâtre d'Hérouville
Mise en scène et jeu Marie Vialle et Pascal Quignard
Une femme, un homme, un corbeau, une chouette effraie se partageront le plateau du théâtre pour faire entendre et voir un hommage à la danseuse Carlotta Ikeda, décédée en septembre 2014 avec qui Pascal Quignard avait conçu un spectacle de Butô. L’écrivain, pianiste aussi pour l’occasion, et la comédienne Marie Vialle mêleront danse, paroles, musique et chants pour cette performance baroque, libre et touchante, proche des jeux d’enfants, hors du temps. Dans le noir lumineux de la scène, dans la simplicité d’un parcours où les images « sont mises en action », dans une respiration commune l’écrivain et la comédienne inventent un moment de théâtre riche de leur complicité et de leurs multiples talents, une « danse des ténèbres » invoquant la danseuse disparue.
23 Les Oiseaux – Aristophane le mercredi 31/05/2017
Laurent Pelly, mise en scène, décors et costumes
Agathe Mélinand, traduction
Avignon,
24 - Fiesta Israel Galvàn le dimanche 16/07/2017 cour d'honneur du palais des papes
Au pied du (grand) mur, Galvàn risque tout. Tables à danser, chaises, micros, une ou deux guitares : le décor est minimal. Le chanteur Niño de Elche entre au début et assoit sa rondeur sur une chaise. Il a du coffre. Il ouvre le bal par un cri suspendu et toujours renouvelé. Personne sur scène, mais un raffut métallique dans les gradins. Galvàn commence, et pas là où on l’attend… Il arrive sur scène presque à reculons, s’y traînant comme un ver, mais fesses et dos contre terre, talons frappant comme d’habitude. Tout le corps frissonnant d’un « zapateado » complet ! Autour de lui, de solides personnalités dessinent des silhouettes. Uchi en tête, petite grand-mère gitane à bottines rouges et à jupe écossaise sous le gilet noir à franges. Quand elle danse, à pas microscopiques et à voltes de mains minuscules, le flamenco surgit jusqu’aux racines. On reconnaît El Caracafé, grand maigre à la guitare qui enverra plus tard à Galvàn ses notes d’un geste dansé. Deux compères en survêtement stimulent de leurs bottes les tables de métal tels des ados prêts à en découdre. Tous se regardent tranquillement. Des pluies d’or leurs sont tombées dessus, le Tablao est fermé, les clients sont partis. Ils vont pouvoir se défier… Les séquences s’enchaînent comme autant de paris expérimentaux : manger des pop-corns, se mettre le saladier sur la tête et danser ensuite pour créer la plus curieuse des images. Chaos souvent apaisé par le chant parfois lyrique, parfois flamenco ou arabo-andalou d’Alia Sellami qui passe telle l’ombre d’une fée. Ou par le chœur de polyphonies byzantines assis au premier rang qui impose sa pause spirituelle...Et Galvàn ? Il fait languir, passe à quatre pattes, fait glisser son pantalon jusqu’aux chevilles et se traîne à petits pas. Mise à mort du macho face à ceux qui voudraient y croire. Il a découvert ainsi ses jambes enturbannées de systèmes de contension. Plus si jeune, Galvàn... Mais toujours autant de classe dans la sincérité. C’est dans cette tenue sans phare, vêtu d’une tunique de gaze qui le rend à la fois femme et homme qu’il va aller croiser le fer avec Niño de Elche... Face à face, chacun sur leur chaise, ils s’affrontent, pince-sans-rire, dans une joute sonore vite réglée. Derrière eux est installé un carré métallique tel un clavecin renversé. Galvàn y grimpe. Le voilà debout... Il fait striduler les cordes. Et hop, il saute sur la table « classique ». En tunique et bandes velcro toujours. On retrouve la grâce des mains qui s’envolent et cisaillent, la frappe des paumes sur la poitrine ou sur les joues. Les petits cris, les invectives à soi-même. Galvàn est parti en voyage sur sa table sonore. Il donne tout, en se tenant sur le fil du rasoir. Mais ce n’est pas la transe d’autrefois. Il cherche un équilibre plus horizontal et plus terrien. « Pour pouvoir danser, il faut que je me tue un peu moi-même », a-t-il annoncé. C’est sa volonté d’explorer le langage dont il dispose qui fait de Galvàn un artiste. Et de cette soirée dans la Cour un moment fort. Même s'il demande un peu d’effort.
25- Mercredi 19 juillet La violence des riches de Stéphane Gornikowski, Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot au théatre des Carmes André Benedetto.
26- 14h15 la vie est belle d'apres le film de Frank Capra. A Essaïon-Avignon. Compagnie caravane. de Philip Grecian d'après le film It's a wonderful life de Frank CAPRA Adaptation française : Stéphane Daurat et Catherine Hauseux Mise en scène : Stéphane Daurat Avec Benjamin Alazraki, Stéphane Daurat, Catherine Hauseux, Sandra Honoré, Thierry Jahn, Hervé Jouval, Gwenaël Ravaux Tarif : 20 € Tarif réduit: 14 € C’est l’histoire extraordinaire d’un homme ordinaire qui, par sens du devoir et de la famille, a mis ses rêves de côté et s'est consacré aux autres. Une veille de Noël - harcelé par un banquier sans scrupule et au bord de la faillite – il songe à mettre fin à ses jours. C’est alors que le Ciel dépêche à ses côtés un ange gardien afin de l’aider à sortir de cette mauvaise passe...
27 - 16h00 Questions de vie ou de mort d'après Vladimir Jankélévitch avec Avner Camus Perez et Geraldine Masson, mis en scène par Avner Camus Perez Théâtre de la Carreterie, Avignon
28 -19h00 le quatrieme mur de Sorj Chalandon (prix Goncourt des Lycéens 2013), par la compagnie des Asphodeles. Metteur en scène Luca Franceschi Comédiens Serge Ayala, Samuel Camus, Lysiane Clément, Marie Coutance, Jean-Serge Dunet, Mathilde Dutreuil, Gaëlle Konaté-Valentin, Salla Lintonen, Yannick «Yao» Louis, Robert Magurno, Nicolas Moisy, Alexandra Nicolaïdis, Manuel Olinger, Julie Seebacher, Fabio Ezechiele Sforzini, Frédéric Tessier, Jennifer Testard
29 - Edouard II Le jeudi 03 août 2017 à 21h00 Éclat(s) de rue. Parc de l'Abbaye aux Dames.
la compagnie Ring Théâtre, le roi Édouard est fou d'amour pour son mignon ; le royaume d'Angleterre résistera-t-il a cette passion ? Avec une mise en scène moderne et enlevée, le Ring Théâtre nous embarque dans une grande fresque historique, tragique et joyeuse à la fois... Deux heures trente haletantes pour cette pièce traitée avec une énergie peu commune par une troupe de quatorze jeunes artistes qui aiment les spectacles musclés et agiles, provocants et élégants, divertissants et intelligents ! Un récit épique dans la tradition du grand théâtre populaire. Un théâtre avec du souffle, du rire et des larmes. Avec : Sébastien Bonneau, Cantor Bourdeaux, Quentin Dumay, Odrée Cheminade, Charlotte Dumez, Amélie Esbelin, Elias Farkli, Guillaume Fulconis, Floriane Gaudin, Sébastien Hoen-Mondin, Amandine Livet, Audrey Montpied, Kévin Sinesi, Julien Testard et Côme Thieulin Mise en scène : Guillaume Fulconis
Et si la terre était unique ? DOCUMENTAIRE Réalisé par Laurent Lichtenstein • Écrit par Bruno Bucher, Serge Brunier France • 2020 • 90 minutes
Lundi 18 juillet
Belles de scene https://www.festivaloffavignon.com/programme/2022/belles-de-scene-s30129/
Mardi 19 juillet
Galerie Lelong
Belles de nuit https://www.festivaloffavignon.com/programme/2022/belles-de-nuit-s31307/
Mercredi 20 juillet
13 h00 Aventures séfarades
https://www.festivaloffavignon.com/programme/2022/aventure-sepharade-s31956/
15h25 Sisyphe,
https://www.festivaloffavignon.com/programme/2022/sisyphes-s30191/
21h25 Music-hall
https://www.festivaloffavignon.com/programme/2022/music-hall-s31664/
Jeudi 21 juillet
14h35 : 1 heure de philo (avec un mec qui ne sait pas grand-chose)
https://www.festivaloffavignon.com/programme/2022/1-heure-de-philo-avec-un-mec-qui-ne-sait-pas-grand-chose-s30451/
17h30 Faut-il laisser les vieux pères manger seuls aux comptoirs des bars
https://www.festivaloffavignon.com/programme/2022/faut-il-laisser-les-vieux-peres-manger-seuls-aux-comptoirs-des-bars-s30504/
21h30 : Les Misérables 2.0
https://www.festivaloffavignon.com/programme/2022/les-miserables-2-0-s29914/
Vendredi 22 juillet
13h00 : Songe d'une nuit d'été
17h00 : Camus-Casares, Une géographie amoureuse
https://www.festivaloffavignon.com/programme/2022/camus-casares-une-geographie-amoureuse-s31076/
23h00 : Paul Lay Trio – Hommage à Bill Evans
https://www.festivaloffavignon.com/programme/2022/thanks-a-million-et-hommage-a-bill-evans-s31686/