« Vermeer s’amuse avec nous. S’étant sans doute arrêtée dans sa toilette afin d’écrire une lettre urgente, la jeune femme richement vêtue nous regarde comme si nous l’avions interrompue ou comme si nous la dérangions. Mais son léger sourire trahit les intentions du peintre : c’est le tableau lui-même qui cherche à nous arrêter en captant notre attention. »
Jan Blanc, Vermeer, La fabrique de la gloire, Citadelles & Mazenod, 384 p., 2017.