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Supplément :
Amoureux de sa filleule Denise, le Marquis Sévéro s’arrange pour envoyer son fiancé, André Berval, en mission dans ses concessions de minerais du Monte-Puebla, espérant ainsi le faire disparaître à jamais. Mais après quelques péripéties, André rentre à Paris, suivit de Papitou, une jeune fille noire qui l’a sauvée d’un vilain traquenard et qui l’aime secrètement… |
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Heureusement, Joséphine Baker tire finalement son épingle du jeu dans les deux grands numéros de music-hall de la fin.
Présentation par Serge Bromberg.
Scénario original de Maurice Tessier (1885-1976), aventurier mondain qui signa sous le pseudonyme de Maurice Dekobra des romans foisonnants, cosmopolites et exotiques qui lui ont valu un immense succès : Mon cœur au ralenti (1924), La madone des sleepings (1925) ou encore Macao, l'enfer du jeu (1938) adapté par par Jean Delannoy en 1939. Son chemin vers l'exotisme et les voyages devait obligatoirement l'amener à croiser celui de la perle noire, Joséphine Baker, 21 ans, dont c'est ici le second film après La revue des revues de Joé Francys en 1927. Henri Etievant est un acteur de théâtre de premier plan qui codirige le film avec Mario Nalpas. Ils ont comme assistant Luis Bunuel qui apprécie ce travail alimentaire. Extrait de La revue des revues.
Extrait de La revue des revues (Joé Francys, 1927), premier
film avec Joséphine Baker
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Editeur
: Arte vidéo. Septembre 2008.
Joséphine
Baker en Papitou se prête aux pires clichés du colonialisme.
"Elle a deux amis le soleil et la liberté", en se baignant
dans la rivière, elle suscite la convoitise des hommes qui se
presseront tout pareillement pour la voir à demi nue dans sa
baignoire. 
