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L'ouverture (The Beginning). Juri Ozerov (U.S.S.R.). "Je m'intéresse
à ce moment-là, avant que le concours commence. C'est alors
que l'athlète se rend compte qu'il est seul, sans amis, formateurs,
ou coéquipiers. La tension de l'attente est la plus intéressante."
5'.
Le plus fort (The strongest). Mai Zetterling (Suède). «J'ai choisi l'halterophilie parce que je ne connais rien à ce sujet. Je suppose que seule chose qui m'ait vraiment fasciné, c'est que ces hommes travaillent dans l'isolement quasi-total. Et puis, ils sont totalement absorbés. Ils ne semblent pas avoir une vie en dehors de l'haltérophilie. Je ne suis pas intéressé par les sports, mais je suis intéressé par les obsessions ". 13'.
Le plus haut. Arthur Penn (États-Unis). Le saut à la perche est capturé au ralenti et sans aucun bruit pendant les trois premières minutes. Puis utilisation virtuosey de la caméra dans ce segment. 12'30.
Les femmes. Michael Pfleghar (Allemagne). "Lors des premiers Jeux Olympiques, les femmes n'étaient pas autorisés à être présents, même en tant que spectatrices.eurs, mais ici, à Munich nous avons eu le plus grand nombre de femmes concurrentes dans l'histoire des jeux. J'ai voulu reconnaître leur présence et leur contribution." Les femmes au sprint, course de haies, saut en hauteur, natation et gymnastique.11'30.
Le plus rapide. Kon Ichikawa (Japon). «Les hommes qui participent à la finale du 100 mètres parcourent la distance en une dizaine de secondes. Pour attraper ce moment fugace j'ai utilisé 34 caméras et 20.000 pieds de film. Je pense que cette course représente un peu l'existence humaine moderne. J'ai voulu exposer cela. " séquences au ralenti : âgé de 22 ans, Valery Borzov de l'Union soviétique remporte la médaille d'or; Robert Taylor des États-Unis prend l'argent et Lennox Miller de la Jamaïque, la médaille de bronze. 6'00.
Le Décathlon. Milos Forman (Tchécoslovaquie). "Depuis que je suis un jeune garçon c'était mon rêve de voir les Jeux olympiques. C'est pourquoi je pense que j'ai fait ce film. J'ai pu voir les Jeux olympiques libre et j'ai eu les meilleures places aux événements." Chaque événement devient sa propre partition musicale unique que les athlètes participent à l'épuisement. L'or ira à Nikolai Avilov avec ses 8454 points. 16'.
Les perdants. Claude Lelouch (France). «À un certain moment dans la vie chacun doit apprendre à vivre avec la défaite. Je voulais voir comment chaque personne accepte ce fait. Comment les perdants se rencontrent leur certaine solitude." 15h00.
La plus longue. John Schlesinger (Grande-Bretagne).
«J'étais fasciné par l'effort individuel de l'marathonien.
Formation à elle seule depuis des années pour une course de
26 mile et concurrentes finalement avec beaucoup plus que la course elle-même."
Bien que 34 ans Ron Hill, de la Grande-Bretagne est l'un des favoris de la
course et est aussi fortement, c'est Frank Shorter qui obtient félicité
par son coéquipier Kenny Moore comme il a dirigé Karel Lismont
et Mamo Wolde dans le stade pour la victoire ce jour-là. Images de
cette course sont captivantes et la fin du marathon termine à la fin
du XVe Olympiade de Munich, en Allemagne. 20h00
Le film est le documentaire officiel des jeux. Il traite huit sujets sportifs
distincts, principalement dans le stade d'athlétisme, chacun réalisé par un
metteur en scène international de renom, et ne fait pas mention de l'attaque
palestinienne contre la délégation israélienne. Jim Clark assure la coordination.
